Le Lecteur et le Héros doivent absolument tomber amoureux 46

Chapitre 46 — Héros : Parce que c'est toi.


Récemment, la nouvelle la plus populaire de l'Empire de l'Étoile était la représentation prochaine de "Cécile" par la troupe Lumière d'Étoile. Les opinions à ce sujet étaient partagées. Certains disaient que la troupe Lumière d'Étoile allait être contrainte de retirer leur propre enseigne, mais la plupart des gens étaient impatients de voir ce que cela allait donner. Ils voulaient voir comment la plus célèbre troupe de théâtre du Continent du Chaos allait jouer cette pièce notoirement connue pour sa difficulté.

Même sans promotion particulière, le "Cécile" de la troupe Lumière d'Étoile était devenu très connu et les billets furent tous vendus dès le premier jour. Dans les jours qui suivirent, les offres pour un billet atteignirent des sommets mais cela restait difficile de s'en procurer un.


Ce fut enfin le jour de la première de "Cécile". Ce jour-là, les rues étaient désertes et presque toute la population de la capitale impériale se massait aux portes du théâtre de la troupe Lumière d'Étoile. L'Empire de l'Étoile dut même envoyer la garde pour dégager un chemin afin que les gens puissent passer. Chaque fois que quelqu'un allait entrer, il y avait des gens dehors qui hurlaient des offres — quand la troupe Lumière d'Étoile avait annoncé qu'il n'y aurait qu'une seule représentation, les prix des billets pour "Cécile" s'étaient directement envolés. Ceux qui n'avaient pas pu obtenir de billet ne pouvaient que se frapper le torse en signe de regret.


Dans une tour magique isolée, des bouteilles en verres de toutes tailles occupaient chaque coin, remplies de liquides de différentes couleurs. C'était la tour magique de la célèbre maîtresse alchimiste Bilodis. C'était la plus recherchée des alchimistes du Continent du Chaos car ses recherches portaient sur le fait de rendre les gens immortels et ses potions pouvaient effectivement ralentir les effets du vieillissement. Beaucoup de gens, surtout des nobles, voulaient s'attirer les faveurs de Bilodis mais cette alchimiste excentrique préférait rester dans sa tour et ne voulait voir personne.

Bilodis était assise dans un fauteuil roulant et contemplait calmement son billet pour "Cécile". Elle sortit une montre-gousset de son col. Quand elle la vit, ses yeux prirent un air compliqué et triste.

La montre-gousset indiquait qu'il restait une heure avant le début de la représentation. Bilodis regarda un long moment son billet. Finalement, elle tendit la main pour le prendre et appela son apprenti.


* * *


À l'extérieur du théâtre de la troupe Lumière d'Étoile.

« Regarde, c'est le carrosse de l'empereur. C'est magnifique !

– Tu arrives à voir sa Majesté ? Il paraît que sa Majesté a huit ans cette année.

– Quelqu'un était devant moi, je n'ai rien vu. Attends, il me semble voir le carrosse du premier ministre — shhhh, il est encore plus magnifique de celui de l'empereur ! »

Les gens dehors assistaient au spectacle mais à l'intérieur, le chef de la troupe était en souffrance. Comme tous le savaient, l'empereur et le premier ministre de l'Empire de l'Étoile étaient ennemis et les deux parties ne devaient absolument pas se croiser. Et là, ces deux adversaires arrivaient presque en même temps. En tant que dirigeant de la troupe Lumière d'Étoile, lequel devait-il accueillir en premier ?


Le petit empereur de l'Empire de l'Étoile était descendu de son carrosse. Même s'il portait une tenue impériale, il était bien trop jeune pour incarner la majesté d'un empereur. La porte du carrosse de l'autre côté s'ouvrit aussi et le premier à en sortir fut Irvin, le fils unique du premier ministre et un play-boy notoire dans l'Empire de l'Étoile. Ensuite vint le premier ministre, un vieil homme aux cheveux impeccablement entretenus et le dirigeant de facto de l'Empire de l'Étoile. Quand le premier ministre aperçut le jeune empereur, une pointe de mépris s'afficha dans son regard.

L'atmosphère se tendit aussitôt que les deux se rencontrèrent, et le chef de la troupe était à deux doigts de fondre en larmes. Heureusement, la personne qui arriva ensuite mit complètement fin à son dilemme.


Le chef de troupe salua respectueusement l'empereur et le premier ministre, puis demanda à ses deux adjoints de les conduire au balcon tandis qu'il accueillait avec enthousiasme le vieil homme qu'une petite fille tirait par la main.

« Maître Antonio, c'est un honneur pour la troupe Lumière d'Étoile de vous avoir ici ! »

Bien entendu, personne n'aurait osé manquer de respect au premier Mage Divin. Même l'empereur et le premier ministre tentaient de gagner ses faveurs. Dès que l'un d'eux pourrait attirer le premier Mage Divin dans son camp, l'autre camp aurait quasiment son arrêt de mort signé.


Antonio salua vaguement le chef de la troupe et fit d'un ton enivré à Miel :

« Ma petite Miel, ralentis un peu. Les os de ton papy vont se briser.

– Papy, tu es trop lent ! « 

Miel tapa du pied puis se tourna vers le chef de la troupe.

« Où est Xiu ?

– Dans les coulisses. »

Dès qu'elle eut sa réponse, Miel lâcha Antonio et courut trouver Xiu. À ses côtés, Bart la suivit tout naturellement. Antonio ouvrit sa flasque et but une gorgée avant de soupirer vaguement :

« Que c'est beau, la jeunesse. »


Quand Miel arriva en coulisses, elle eut la surprise de voir que c'était incroyablement silencieux. Tout le monde s'affairait mais personne n'osait faire le moindre bruit. C'était comme s'ils avaient peur de faire trop de bruit et de se réveiller alors d'un rêve absolument magnifique.

Pendant que chacun s'occupait de ses affaires, on pouvait voir leurs yeux dériver sur le côté de temps à autres. Miel suivit leurs regards et trouva le coupable de tout ce silence.

En cet instant, Miel comprit "Cécile" du plus profond de son âme.

Cette beauté devait être préservée pour toujours afin que personne ne puisse la monopoliser.


* * *


De sa main gauche, Du Ze souleva une perruque de longs cheveux noirs raides et dans sa main droite, il tenait une robe de femme rouge et noire. Son cerveau tout entier était vide.

Petit dōjinshi, pour toi ce jeune homme est prêt à un tel sacrifice… Je dois certainement t'aimer…

Du Ze posa la perruque et souleva la robe à deux mains. Un ruban tomba et fut attrapé avant de toucher terre et ramené à la chaise par le petit phénix. Le boule de duvet posa le ruban et ses yeux noirs fixèrent la perruque avec curiosité.


Le lecteur s'obligea à regarder douloureusement la longue robe gothique qui était couverte de rubans et dont les couches de dentelles n'allaient pas tarder à aveugler ses yeux en titane. Après avoir hésité un long moment, Du Ze retira ses lunettes et commença à se changer. Au moment où il parvenait enfin à sortir sa tête du col avec difficulté, une perruque tomba des airs directement sur sa tête. Le petit phénix qui avait porté la perruque dans les airs s'écria avec excitation :

« Piou ! »


Sa vue bloquée, Du Ze agita les mains à l'aveuglette jusqu'à remettre la perruque en place puis découvrit avec désespoir qu'il ne savait plus où il avait mis ses lunettes. Après quelques temps de recherche, il ne put les trouver. Du Ze ne put que continuer à se changer et attendre que les autres arrivent pour qu'ils l'aident à les retrouver. Il prit un ruban en dentelles et plissa les yeux pour en déterminer l'usage.

À quoi servait ce ruban ? C'était une ceinture ?

Du Ze mit le ruban à sa taille et en tira une conclusion sérieuse : s'il mettait cette chose autour de sa taille, le seul résultat plausible serait que tout le monde découvrirait son corps dans la loge. Un détective prendrait le ruban en dentelles du corps et annoncerait à tous : Regardez, c'est l'arme du crime.


Une main lui prit le ruban. Du Ze leva les yeux et dans sa vision floue, il vit quelqu'un tenir le ruban. À cause de sa grave myopie, Du Ze put seulement reconnaître Xiu mais les autres détails étaient flous.

« Mets ça autour du cou. »

Du Ze entendit Xiu dire ça et le visage flou se rapprocha. Du Ze sentit quelque chose autour de son cou et c'était effectivement Xiu qui y mettait le ruban. Les cheveux sur sa nuque furent séparés en deux et les mains froides nouèrent gentiment le nœud. Du Ze eut l'impression d'un chat à qui on mettait un collier avec une clochette.

Quand la clochette sonne, on sait où est son chat.


Après avoir noué la dentelle, Xiu passa ses doigts dans les cheveux. Du Ze se dit qu'il portait désormais des vêtements de femme et un certain adorable idiot ne se sentit pas bien.

Comme s'il percevait la rigidité de Du Ze, Xiu fit dans un souffle :

« C'est très joli.

– … Tu aimes ça ? »

Les doigts de Xiu jouèrent avec les pointes des cheveux.

« Parce que c'est toi. »

Du Ze en resta sans voix. Il avait cru un instant que si Xiu aimait les vêtements de femme, alors le seigneur Meng était encore hétéro. Cependant, la réponse de Xiu lui fit perdre tout espoir d'un seigneur Meng hétéro.

Parce que c'est toi, peu importe ce que tu portes, j'aime ça.

Même s'il ne voyait pas très bien, Du Ze détourna maladroitement le regard de Xiu et aperçut un reflet de lumière au coin des yeux. Du Ze plissa les yeux et se rendit compte qu'il s'agissait de ses lunettes posées sur le corps rondouillard du piaf.

Le petit phénix prit les lunettes dans son bec et fit le mignon :

« Piou ~ »

Du Ze : …

Au moment où Du Ze récupéra ses lunettes, la voix d'Énoch se fit entendre à la porte de la loge :

« Vous êtes prêts ? La représentation va commencer ! »


Le monde flou redevint clair tout à coup. Du Ze contempla avec hébétude Xiu qui était bien habillé et son cerveau bugua. L'elfe portait une tunique blanche neutre avec des motifs dorés et ses longs cheveux argentés étaient soigneusement coiffés et retenus par un bandeau. Le maquillage de son visage était très discret mais il soulignait parfaitement sa beauté exquise. C'était le genre de beauté androgyne qui attirait n'importe qui — une beauté qu'on ne pouvait décrire avec de simples adjectifs et qui induisait un désir profond de possessivité.

C'était Cécile dont la beauté avait captivé le monde.


* * *


Quand Cécile fit son entrée, le public fut si silencieux qu'on aurait pu entendre une épingle tomber.

[Il était une fois un homme magnifique du nom de Cécile.]

Tandis que se faisait la narration, Xiu resta debout et rendit tout le monde fou.

Du Ze observa tout cela des coulisses et ne pouvait comprendre pourquoi Xiu l'aimait.

… Pourquoi lui ?

Du Ze vit Dieu arrêter le temps de Cécile et ce fut comme s'il avait un aperçu de sa propre fin.


Du Ze refoula bientôt ses pensées et devint nerveux parce qu'un certain adorable idiot allait faire son entrée sur scène. Concernant l'amante de Cécile, le chef de la troupe avait changé le script d'origine afin de concorder avec le Du Ze froid et détaché des affaires de ce monde : il avait donc décrété que l'amante serait désormais froide à l'extérieur et chaleureuse à l'intérieur. De cette manière, Du Ze n'avait qu'à maintenir sa paralysie faciale habituelle et laisser le champ libre à l'affection de Xiu.

Mais même avec ça, c'était un immense défi pour Du Ze qui avait été handicapé social pendant des années. Il regarda la foule dense du public et tenta de s'hypnotiser : Je ne verrai plus rien une fois que j'aurai retiré mes lunettes.


[Dieu arrêta son temps afin que Cécile reste pour toujours à son apogée.]

Après la narration, la scène devint un décor avec un ciel bleu et de l'herbe, et de la musique animée se fit entendre. Cécile se tenait sous un arbre et semblait attendre quelqu'un. Les oiseaux chantaient sa beauté et les fleurs à ses pieds louaient sa beauté. Cependant, Cécile restait adossé contre le tronc. Du début à, la fin ses yeux n'étaient tournés que dans une seule direction, indifférent à tout ce qui l'entourait.

Une jeune fille vêtue d'une robe rouge et noire apparut peu à peu. Son visage ne montrait aucune expression et elle donnait l'impression que ce serait difficile de s'entendre avec elle. Mais quand elle apparut, les yeux de Cécile s'illuminèrent un instant et la beauté splendide gagna encore trois points de plus.


Le monde entier avait les yeux fixés sur lui mais lui regardait son amante comme s'il voyait le monde entier.

Assise dans sa loge, Miel regarda la scène sous ses yeux. Elle songea : Je suis si jalouse… de cette personne.

Presque tout le monde dans le public partageait cette pensée. Ils regardaient la fille sur scène et auraient bien voulu prendre sa place. En toute justice, la fille aux cheveux noirs était effectivement très belle, mais ce n'était rien comparé à Cécile.


Du Ze s'assit sur la pelouse, tendu. Même s'il ne pouvait rien voir, il pouvait sentir ces yeux féroces transpercer son corps, encore et encore, jusqu'à ce que mort s'ensuive et qu'il crache du sang à trois pieds de là.

Au secours, au secours… QAQ

Il baissa la tête mais alors Xiu posa une guirlande de fleurs sur sa tête et, d'après le script, Du Ze devait l'embrasser sur la joue.

Mais… Toi qui as écrit la pièce, tu as vraiment une dent contre l'amante ? Dans de telles circonstance, ce jeune homme peut-il vraiment s'en sortir indemne ?

Du Ze se rapprocha un peu de Xiu et sentit aussitôt plus d'yeux qui le transperçaient.

Putain, ce jeune homme risque sa vie pour jouer !


Xiu se rendit également compte que Du Ze s'était figé et était incapable d'avancer ou de reculer. Sans même y songer, il prit l'initiative de l'embrasser résolument.

Du Ze écarquilla les yeux : Xiu l'embrassait sur la bouche, pas sur la joue !

Sous le regard du public, l'elfe aux cheveux argentés serra contre lui la fille aux cheveux noirs et l'embrassa passionnément. L'intensité de ce baiser fut telle que cela fit rougir beaucoup de gens et fit battre plus vite bien des cœurs. Du Ze n'osa pas du tout se débattre. Avant d'avoir pu refermer la bouche, tout son air avait été aspiré par Xiu. Au départ, un certain adorable idiot garda en mémoire le fait qu'ils étaient en train de jouer un rôle mais quand il fut enfin relâché, il ne pouvait plus depuis un moment distinguer le nord du sud, l'est de l'ouest. Il ne pouvait que rester dans l'étreinte solide de Xiu.


Cécile serra son amante contre lui et embrassa ses cheveux noirs.

« Nous resterons ensemble pour toujours. »

L'amante dans ses bras garda un moment le silence, puis répondit doucement :

« En. »

Les oiseaux cessèrent de gazouiller, les fleurs baissèrent la tête et le monde entier observait les deux amants dans un silence terrible.

[Le monde lui-même tomba amoureux de Cécile et devint jaloux de son amante.]

Sous la scène, le chef de la troupe fut stupéfait. Le script de départ stipulait que Cécile donnait à son amante une couronne de fleurs, l'amante embrassait Cécile sur la joue et lui disait "nous resterons ensemble pour toujours" et ensuite Cécile rendait son baiser à son amante et acquiesçait. Mais en voyant cette scène, le chef la trouva encore plus efficace parce que c'était le beau Cécile qui prenait l'initiative et du coup, le public deviendrait d'autant plus jaloux de son amante.


Du Ze s'effondra dès qu'il quitta la scène. Le script en était maintenant arrivé à la séparation de Cécile et de son amante. Après ça, les amantes seraient toutes des actrices de la troupe Lumière d'Étoile et ce ne serait plus son affaire. Le visage d'un certain adorable idiot se figea et il marcha droit vers la loge, complètement effrayé à l'idée de regarder les autres dans les yeux.

Depuis que Xiu et lui avaient répété une fois le second acte, tout le monde les regardait bizarrement. Miel avait éclaté en sanglots et annoncé qu'elle avait à nouveau le cœur brisé, tandis que Énoch était complètement du genre "vous êtes tous les deux mes braves frères, alors vous avez tout mon soutien." Pouvait-on se fier à un adorable idiot avec des barrières sociales pour expliquer tout ça ? Non, alors un certain adorable idiot n'avait pu que bafouiller cette phrase : "Vous avez mal compris" et ce fut tout.

Et là à l'instant, Xiu et lui venaient de s'embrasser en public.

Ah ah.

Quand Du Ze arriva à la loge, le chef de la troupe se tint devant lui avec un sourire.

« J'ai un service à te demander… »


* * *


[L'alouette dit à l'amante : Tu es si vieille, comment peux-tu être digne de Cécile ?

La rose dit à l'amante : Tu es si laide, comment peux-tu être digne de Cécile ?]

Assise dans son fauteuil, Bilodis regarda la femme-alouette et la femme-rose entourer l'amante. Sa main se crispa sur l'accoudoir de son fauteuil roulante jusqu'à devenir blanche.

[L'amante se mit à penser : Si je deviens très belle, pourrais-je être de nouveau avec Cécile ?]

Dans ses souvenirs, une femme du nom de Bilodis était en train de penser : Si je pouvais fabriquer une potion de jouvence, serais-je capable de rester avec lui ?


[Alors l'amante fit appel à un sort interdit.]

Un nuage de fumée se répandit sur la scène et le cercle magique peint avec du sang disparut progressivement du sol. L'amante de Cécile se tenait au milieu de la scène, dos au public tandis que la narration continuait :

[Finalement l'amante devint magnifique.]

Personne ne pouvait voir le visage de l'amante, ils ne pouvaient qu'imaginer à quoi pouvait bien ressembler quelqu'un d'encore plus beau de Cécile.

[Alors Dieu rendit son temps à Cécile et arrêta le temps de son amante.]

Dans la dernière scène, Xiu marcha parmi la mer de fleurs. Quand il vit qui l'attendait au centre de la scène, il en resta stupéfait un moment — c'était Du Ze.


Des deux côtés de la mer de fleurs, les deux se regardèrent. Traditionnellement, c'était là que s'achevait "Cécile". Cependant, Du Ze se rappela des directives du chef de la troupe. Il regarda Xiu de l'autre côté, posa par habitude les mains sur ses contours d'oreille cachés dans ses cheveux noirs et fit d'un air consciencieux :

« Nous resterons ensemble pour toujours. »

Xiu fut tout d'abord surpris, puis son expression devint si douce que les gens en eurent les larmes aux yeux.

« En. »

Le rideau tomba.

Le public resta un bon moment à regarder le rideau d'un rouge vif, incapable de reprendre leurs esprits.


La parole à l'auteur :

Auteur : Dis-moi la chose que tu comprends le moins.

Lecteur : L'endurance d'un héros étalon.

Héros : Parce que c'est toi (que je culbute).







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