Le méchant est outrageusement beau 13

Chapitre 13 : Avouer sous la torture



Les cris de ‘Tuez-les !’ et les bruits de lutte à l'extérieur étaient en effet bien audibles et on pouvait en déduire qu'il y avait bien plus d'assaillants que le premier jour où Xu Xingzhi était arrivé dans les Terres Sauvages.

… Heureusement, contrairement à ce jour, Meng Chongguang était resté pour monter la garde.

Xu Xingzhi n'était peut-être pas très au point concernant les capacités au combat des autres mais Meng Chongguang était comme son propre fils qu'il avait élevé dans son histoire. Avec lui pour protéger la tour, même si la moitié des monstres des Terres Sauvages venaient les encercler, Meng Chongguang pourrait s'en tirer sans la moindre égratignure.

Xu Xingzhi aurait bien été incapable de dire d'où lui venait cette certitude tranquille, alors il n'y songea pas trop.


Après avoir écoute un moment le bruit des lames qui s'entrechoquaient, il prit ses vêtements, s'habilla rapidement puis retourna s'allonger paresseusement sur le lit.

« Le maître du Mont Scellé, c'est l'homme qui est retenu prisonnier dans la cellule ? »

Zhou Wang hocha la tête.

Les pensées de Xu Xingzhi devinrent encore plus claires.

Bien qu'il ait été établi depuis longtemps que peu de gens pouvaient rivaliser contre Meng Chongguang dans les Terres Sauvages, l'homme à la peau de loup, qui était pourtant le maître du Mont Scellé, s'était à peine présenté devant Meng Chongguang pour l'affronter qu'il s'était retrouvé déchiqueté en lambeaux des mains de son adversaire. Cela prouvait bien que Meng Chongguang était un dur à cuire qu'on n'affrontait pas à la légère.


L'entrave à son pied avait disparu. Xu Xingzhi plissa les yeux et, après avoir agité sa cheville dans tous les sens, il demanda d'un ton pensif :

« Qu'est-ce que tu as dit tout à l'heure ? Ces gens risquent leur vie pour sauver leur maître ?

– D'après ce que je sais, avant que grand frère Meng et mon oncle n'arrivent dans les Terres Sauvages, le maître du Mont Scellé était le Seigneur des Terres Sauvages et jouissait du respect de tous. Mais quand grand frère Meng est arrivé dans les Terres Sauvages, il a piqué le titre au maître du Mont Scellé. Du coup, cet homme nous a toujours profondément haï et profite souvent de l'absence de grand frère Meng pour envoyer ses hommes afin de nous tuer. Cette fois pourtant, ils n'ont pas attendu que grand frère Meng parte. Le nid entier est sorti pour nous combattre, nous attaquer sans relâche et en jurant de récupérer leur maître. C'est vraiment un exemple touchant d'amour et de loyauté. »

Xu Xingzhi leva la tête vers le haut de la tenture et fit en riant :

« … un exemple touchant d'amour et de loyauté, ah.

– Qu'est-ce qui ne va pas ? s'enquit la jeune fille.

– Rien ne va, » répondit Xu Xingzhi.


Zhou Wang en fut confuse. Elle quitta le mur pour s'approcher du lit. Elle se pencha sur le montant gravé du lit avec les bras croisés et regarda le jeune homme.

« Comment ça ? »

Xu Xinzhi croisa les mains derrière la tête.

« Laisse-moi te poser une question : si l'un de vous se faisait capturer par les gens du Mont Scellé et que pour le récupérer, il vous faudrait traverser une montagne d'épées et une mer de flammes Des difficultés inimaginables. (1), vous iriez quand même ? »

Zhou Wang répondit sans hésitation :

« Une montagne d'épées et une mer de flammes, et alors ? Bien sûr qu’on irait.

– Pourquoi ? insista-t'il.

– Il faut vraiment une raison ?

– Pourquoi pas ? »

Cela lui fit froncer les sourcils.

« Qu'est-ce que tu veux dire ? »


Xu Xingzhi eut un sourire.

« Moins il y a de gens, moins il y a de conflits. Plus il y a de gens, plus il y a de conflits. Cela fait bien des années que le Mont Scellé a assis sa position dans les Terres Sauvages, s'est étendu, avec beaucoup d'hommes à ses ordres et certainement aussi certains qui lorgnent sur la position de maître du Mont Scellé. Si je faisais partie du Mont Scellé, je me moquerai bien du sort du maître. Le plus malin serait de conserver mes forces et d'en profiter pour m'emparer de force du Mont Scellé. Et pourtant... »

Zhou Wang y réfléchit. Bien que ce soit un discours scandaleux, il y avait une part de vérité dedans, alors elle demanda :

« … Et pourtant ?

– Tu dis que les gens du Mont Scellé sont venus en force et se battent au prix de leur vie ? fit Xu Xingzhi. Je veux bien croire qu'il y a des gens en ce monde qui attachent de l'importance à l'amour et la loyauté, mais je ne crois pas que ces gens du Mont Scellé soient venus recouvrir les montagnes et les plaines dans un but aussi noble et sincère. Ils font ça parce qu'ils n'ont pas d'autre choix. Ils complotent forcément quelque chose. »


Il se retourna pour s'asseoir et parvint à sa conclusion :

« … Le maître du Mont Scellé doit forcément posséder quelque chose qui justifie leur sacrifice. »

Une fois qu'il eut dit ça, il fit subitement un clin d'œil à la jeune fille.

« Hé bien ? Ça te dit de me suivre pour parler au maître du Mont Scellé et voir qu'est-ce qu'il peut bien posséder de si intéressant ? »

Le visage souriant de Xu Xingzhi était vraiment splendide, comme le vent qui dispersait les nuages et dévoilait le clair de lune brillant. Bien que Zhou Wang n'éprouvait rien pour le sexe opposé, ses yeux furent éblouis par ce sourire.


L'instant d'après, Xu Xingzhi, qui avait voulu se lever du lit, vit ses jambes se dérober sous lui et il tomba à genoux devant Zhou Wang.

… La nuit dernière, Xu Xingzhi avait vraiment été une victime impuissante durant la moitié de la nuit, il avait trop subi et sa taille lui faisait un peu mal.

Zhou Wang toussota et porta une main couverte de bandages à sa bouche pour masquer son rire.

Heureusement, Xu Xingzhi n'avait honte de rien et n'était pas aisément embarrassé. Il tendit la main et l'agita en direction de Zhou Wang, lui indiquant de l'aider à se lever.

La jeune fille lui donna donc un coup de main : elle saisit sa main droite en bois de rose et le tira vers le haut.

La main droite de Xu Xingzhi avait été amputée au niveau du poignet. Quand elle l'aida à se lever, Zhou Wang tomba forcément sur la coupure et la regarda plusieurs fois. Elle semblait être vraiment très intéressée par la raison pour laquelle il avait perdu sa main.


Même s'il avait fait une longue analyse pour Zhou Wang, Xu Xingzhi savait en fait en son for intérieur qu'il n'y avait qu'une seule chose qui pouvait contraindre les gens du Mont Scellé à les attaquer au mépris de leur vie.

… Le maître du Mont Scellé détenait un fragment de la clef des Terres Sauvages.

N'importe qui pouvait être le maître du Mont Scellé mais s'ils perdaient cette précieuse clef alors pour ces gens, leur unique espoir de revoir le soleil serait perdu et il ne leur resterait plus qu'une souffrance sans fin.

Quel serait alors l'intérêt de devenir le maître du Mont Scellé ? Ce serait juste vivre tant bien que mal en attendant la mort.


Xu Xingzhi savait où étaient cachés les quatre fragments de la clef. Cependant, son intention de départ avait été de dissimuler cette histoire de clef le plus longtemps possible afin d'éviter que Meng Chongguang ne puisse sortir des Terres Sauvages.

Mais le commando de secours du Mont Scellé était si terrifiant. Meng Chongguang n'était pas un idiot, il n'avait qu'à réfléchir un peu et il se rendrait compte aussi que son prisonnier devait posséder quelque chose qui justifiait que tous les autres risquent leur vie pour lui.

Alors au lieu d'attendre que Meng Chongguang et les autres le découvrent, il valait mieux que Xu Xingzhi l'interroge avant eux.

Le mieux serait de l'interroger à propos des fragments de la clef. Si ce n'était pas pas possible, il pourrait au moins obtenir des renseignements intéressants. Dans les deux cas, il avait à y gagner.


* * *


Après avoir soulagé la douleur dans son dos et la faiblesse de ses jambes, Xu Xingzhi et Zhou Wang se rendirent dans la cellule où l'homme à la peau de loup était enfermé.

Il se trouvait que le prisonnier avait déjà repris connaissance, comme s’il avait senti quelque chose.

Quand il entendit la porte s'ouvrir, il pencha la tête pour regarder par là. Son visage se tordit un instant avant d'arborer un grand sourire féroce :

« Tiens donc, qui voilà ? C'est ce traître de Xu Xingzhi qui a tué son propre maître ! »

Zhou Wang fixa Xu Xingzhi sans rien dire.

Ces insultes étaient destinées au propriétaire d'origine de ce corps, alors Xu Xingzhi endura ça sans broncher.


Il s'avança vers le prisonnier et s'accroupit en souriant à son tour.

« Tu peux parler ? C'est bien. Tu entends ce bruit dehors ? »

Le prisonnier le fixa de ses yeux injectés de sang.

Xu Xingzhi désigna la petite fenêtre.

« Écoute, écoute, tes hommes sont là pour te sauver. Parlons-en un peu. Tu n'es pas très beau, pour commencer. Ensuite, tu me sembles du genre à battre ta femme et conduire ton enfant au désastre. Alors pourquoi iraient-ils risquer leur vie pour te sauver ? »

L’homme cracha sur lui sans un mot.

Xu Xingzhi s'y était attendu alors dès qu'il vit la pomme d'Adam de l'autre bouger, il esquiva sur le côté. Le crachat sanglant du prisonnier finit par terre.

Xu Xingzhi tint son éventail de la main gauche et en tapota le dos de sa main droite.

« Tu ferais mieux d'économiser ta salive pour garder ta gorge humide. Et tu ferais aussi mieux de me répondre rapidement. »


Le regard de l'homme à la peau de bête se fit plus féroce mais malheureusement, sa colonne vertébrale avait été endommagée donc il était complètement paralysé. Son pouvoir spirituel était toujours là, cependant il ne parvenait pas à s'en servir. Une fureur violente agita son cœur. En voyant de nouveau le visage de Xu Xingzhi, ses yeux devinrent rouges de colère.

« Et toi alors, tu es quoi ? Un sournois ambitieux, un vaurien qui fait fi de toute vertu. Pour commencer, tu as assassiné ton maître. Ensuite, tu es un homosexuel qui couche avec ses petits frères martiaux. Toutes ces choses sordides, tu croyais vraiment que personne dans les Terres Sauvages ne saurait tout ce que tu as fait ? »

Xu Xingzhi regarda le prisonnier. Il se rembrunit légèrement et cessa de parler.


Zhou Wang restait simplement sur le côté et observait la scène. Elle n'avait jamais participé à ce genre d'interrogatoire.

Cette cellule servait pour les interrogatoires. De temps à autres, Meng Chongguang ramenait ici des gens des Terres Sauvages et il les interrogeait tout seul personnellement sans que les autres ne le sachent.

Peu importait à quel point ces gens étaient arrogants et agressifs quand ils arrivaient, il suffisait qu'ils restent quelques temps dans la même pièce que Meng Chongguang pour en ressortir tous dociles et mous.


En voyant le silence de Xu Xingzhi, l'arrogance de l'homme à la peau de bête ressurgit de plus belle :

« Tu croyais que puisque je suis coincé dans les Terres Sauvages, je ne savais pas à quel point ton tire-bouchon Je pense que c'est un mot pour désigner le pénis. (2) est sale ? »

Le prisonnier partit d'un rire de maniaque.

« J'ai une femme splendide à mes côtés. Tu serais effrayé rien qu'en entendant son nom. Elle te connaît aussi et elle m'a raconté toutes les saloperies que tu... »

Sans le laisser finir sa phrase, Xu Xingzhi lui saisit subitement la tête et la cogna contre le mur à côté.


Il était déjà gravement blessé et là, il s'était fait attraper par les cheveux et on lui avait cogné la tête contre le mur. Il ne pouvait absolument pas se défendre. Son visage sombre se pressa et se déforma contre le mur. On avait même l'impression qu'il se fendit.

Xu Xingzhi augmenta la pression sur sa tête et le coin de ses lèvres s'étira en un sourire moqueur.

« … Tu ferais bien mieux de comprendre quelle est ta situation actuelle. Et c'est ton Mont Scellé ici, hein ? Tu crois faire peur à qui avec tes histoires ? »

Zhou Wang en resta stupéfait et sifflota.

… Elle comprenait à présent de qui Meng Chongguang tenait ses méthodes d'interrogatoire.


La tête de l'homme à la peau de bête était pressée si fort contre le mur qu'elle était sur le point d'éclater. L'homme devint furieux :

« Xu Xingzhi, je vais te réduire en miettes... !

– Qui est réduit en miettes ? » demanda Xu Xingzhi.

Il tint la tête du prisonnier et la cogna plusieurs fois contre le mur comme un œuf.

L'homme à la peau de loup possédait un certain niveau de cultivation. Bien sûr, ce n'était pas la force d'un bras de mortel qui allait briser sa tête, cependant cela le rendait déjà assez furieux comme ça que l'autre s'amuse ainsi avec lui.

« Xu Xingzhi, putain de... »


Xu Xingzhi ne prit pas la peine de l'écouter jacasser et jurer. Il se tourna et demanda à Zhou Wang :

« Tu as un couteau ? »

Après avoir observé ce spectacle animé pendant si longtemps, la jeune fille ne se fit pas prier pour jeter de l'huile sur le feu. Elle sortit une dague de sa botte et s'avança. Elle tint la dague par sa lame, prête à la donner à Xu Xingzhi ;

Le jeune homme fit cependant :

« Ne me la donne pas, montre juste la lame. »

Zhou Wang fit comme il le dit. Elle fit glisser la dague dans sa main et le bord tranchant et comme de la neige fut pointé en direction du visage de l'homme à la peau de bête.


Xu Xingzhi saisit le prisonnier, le tira loin du mur et le tira en direction de la dague avec ses yeux au niveau de la lame acérée.

L'homme cessa aussitôt de parler. La sueur coula sur son front et il se mit à haleter, incapable de dire un mot.

Xu Xingzhi lui conseilla :

« Réponds simplement à mes questions. Ne me fais pas perdre de temps avec tes bêtises. Tu as bien compris ? »

Avec les yeux à seulement un demi cun de la pointe de la dague, les pupilles de l'homme à la peau de bête tremblèrent. Il n'osa plus se débattre et il déglutit de manière très audible.

Bien qu'il soit déjà paralysé, il tenait quand même encore à ses yeux. Avec la dague juste devant lui, il n'osa plus refaire le malin.


Voyant qu'il avait appris à la fermer, Xu Xingzhi lui demanda directement :

« Pourquoi tu voulais me capturer ? »

L'homme à la peau de bête répondit sans faire d'histoire cette fois et tout autre mot superflu avait disparu pour de bon :

« Pour t'offrir à Jiu Zhideng... Et aussi pour faire pression sur Meng Chongguang.

– Comme c'est bien pensé, ah, complimenta Xu Xingzhi. Tu pensais donc pouvoir quitter les Terres Sauvages en m'offrant à Jiu Zhideng ?

– … Oui.

– Mais tu ne peux pas en sortir tout seul ? »

L'homme à la peau de loup marqua une pause et une lueur de panique apparut dans ses yeux injectés de sang.

« De quoi tu parles ? Je ne comprends pas.

– Tu ne peux vraiment pas comprendre ou bien tu ne veux pas comprendre ? Quel est donc ce trésor pour lequel tes hommes se précipitent au risque de leur vie afin de le récupérer ? »


L'homme s'écria de toutes ses forces :

« Je ne comprends pas ! »

Xu Xingzhi ne voulait plus perdre de temps avec lui. Il dévoila donc en peu de mots ses cartes :

« Laisse-moi deviner, c'est la clef des Terres Sauvages, pas vrai ? »

La gorge de l'homme à la peau de loup se contracta et il fut incapable de prononcer le moindre mot.

Le corps de Zhou Wang se raidit soudain et ses doigts se crispèrent inconsciemment sur la dague qu'elle tenait.

Elle avait pensé que ce prisonnier détenait un trésor de pierres spirituelles. Jamais elle n'aurait cru qu'il s'agissait en fait de la clef des Terres Sauvages qu'ils recherchaient depuis des années.

Mais en y pensant bien, cela semblait vraiment logique.

Si ces gens venaient pour récupérer la clef des Terres Sauvages, alors cela expliquait leur acharnement et leur folie.


La jeune fille leva les yeux vers Xu Xingzhi, son regard rempli de surprise et d'admiration :

« Comment tu as fait pour deviner ? »

Désolé, j'ai le scénario dans les mains.

Xu Xingzhi ne lui répondit pas. Il saisit l'homme à la peau de loup par le col, repoussa sur le côté les cheveux légèrement humides de l'autre et murmura à son oreille son analyse de la situation actuelle :

« … ton corps est désormais paralysé. Même si tes hommes arrivent à te récupérer, une fois qu'ils auront mis la main sur la clef, tu crois vraiment qu'ils vont continuer à te suivre ? Le mieux qui t'attend, c'est qu'ils t'abandonnent dans les Terres Sauvages, que tu te fasses dévorer par les monstres et que tu meurs sans laisser un corps intact... Mais si tu nous donnes la clef, au moins ta fin sera un peu plus rapide. Que dis-tu de cette proposition ? »


L'homme haleta lourdement et l'insulta par désespoir :

« Xu Xingzhi, espèce d'enfoiré ! »

Le jeune homme ne se sentit pas du tout offensé et répliqua :

« Je suis un gros enfoiré, tu ne le savais pas déjà ? Pourquoi ça te surprend tellement ? »

Le prisonnier serra les dents et marmonna à voix basse. Il ferma ensuite les yeux si longtemps que Zhou Wang crut qu'il s'était évanoui de douleur et d'indignation. Soudain, il rouvrit les yeux.

« Juste... un fragment... fit-il d'un ton misérable. Je n'ai qu'un fragment de la clef sur moi... »


La parole à l'auteuse :

Première ligne d'une sentence parallèle : Pour les plus jeunes, il est aussi chaleureux que la brise de printemps dans les saules

Seconde ligne : Pour les ennemis, il est aussi cruel que le vent d'automne qui fait tomber les feuilles

Ligne verticale : Si la première poutre n'est pas droite, la dernière sera de travers Les subordonnés imitent les vices de leur supérieur. (3).

Note de Karura : Ce poème parle bien évidemment de Xu Xingzhi. Pour la ligne verticale, je pense que cela fait référence au fait que Meng Chongguang semble employer les mêmes techniques d'interrogatoire que son grand frère martial.


Notes du chapitre :
(1) Des difficultés inimaginables.
(2) Je pense que c'est un mot pour désigner le pénis.
(3) Les subordonnés imitent les vices de leur supérieur.






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