Cent façons de tuer un prince charmant 247

Chapitre 247


Shen Jue contempla les plats sur la table un moment, puis il fit demi-tour et alla dans la salle de bain. À sa grande surprise, il y avait déjà un verre rempli d’eau et une brosse à dents sur l’évier. Il y avait même déjà du dentifrice sur la brosse, ce devait donc être pour lui.

Il vit également un post-it sur le verre. Shen Jue le prit et jeta un coup d’œil :

Bonjour, souris ! 🙂

Il y avait même un smiley dessiné à côté.


Une fois que Shen Jue eut fini sa toilette et sortit de la salle de bain, il vit que Si Yu était aussi sorti de la cuisine. Il était en train de poser un verre de lait sur la table du salon. Quand il entendit du bruit en provenance de la salle de bain, il ne releva même pas la tête et fit directement :

« Viens prendre ton petit-déjeuner. Je vais te conduire au travail après. »

Après ça, il se rendit compte qu’il n’entendait pas des bruits de pas qui s’approchaient, alors il releva la tête. Il vit que Shen Jue se tenait toujours à la porte de la salle de bain. Un sourire naquit alors sur ce visage des plus splendides.

« Ne reste pas planté là, ah, viens d’abord manger. La soupe de poulet a encore besoin de mijoter quelques heures. Je te l’apporterai à midi, ça te donnera des forces. »


Si Yu avait préparé du porridge pour le petit-déjeuner. Shen Jue y goûta et se rendit compte que ce porridge devait avoir cuit pendant longtemps car il était préparé à la perfection. On aurait dit que Si Yu s’était donné beaucoup de mal mais tandis que Shen Jue prenait son petit-déjeuner, l’autre homme en face de lui se contenta juste d’un café noir.

Shen Jue ne put s’empêcher de lui jeter un regard. Si Yu parut comprendre le sens de son regard et expliqua d’un ton léger :

« En général, je ne bois que du café le matin. »


Après le petit-déjeuner, Si Yu entraîna Shen Jue dans le dressing attenant à la chambre. Il y avait beaucoup de vêtements dans ce dressing. Les doigts fins de Si Yu parcoururent les vêtements pour finalement s’arrêter sur une tenue.

« Essaie-ça. Ils ont été lavés, mais je ne les ai jamais portés. »

Il tendit les vêtements à Shen Jue, mais s’aperçut que l’autre n’avait pas répondu. Alors il haussa les sourcils.

« Qu’y a-t’il ? »

Shen Jue regarda l’homme en face de lui et se mordit les lèvres. Au bout d’un long moment, il parla pour la première fois de la journée :

« Qu’est-ce que tu fais ?

– Je te donne des vêtements. »


Si Yu baissa les yeux sur le costume qu’il tenait.

« Tu ne trouves pas que ce costume a l’air bien ? Tu en préfères un autre ? »

En parlant, il voulut remettre les vêtements sur le cintre, mais Shen Jue tendit la main pour l’en empêcher.

« Ce n’est pas ce que je veux dire. Pourquoi tu m’as préparé un petit-déjeuner et tu veux me conduire au travail ? »

À ces mots, Si Yu le regarda d’un air des plus naturels :

« N’est-ce pas normal ? Sinon, si tu ne te changes pas ici, tu risques d’arriver en retard au travail. »

Il regarda les vêtements qu’il tenait et un sourire étira légèrement le coin de ses lèvres.

« Tu as besoin que je t’aide à te changer ? »

Naturellement, sa proposition fut rejetée.

Traduction faite par Karura Oh. Lisez sur mon site http://karuraoh.free.fr ou sur Scan Manga. Si vous la voyez sur un autre site, c'est qu'ils ont volé cette traduction !

Shen Jue accepta de se changer et il se trouva que Si Yu voulait aussi s’habiller. Les deux hommes restèrent donc dans le petit dressing, le dos tourné pendant qu’ils s’habillaient. Au moment où Shen Jue allait nouer sa cravate, une main blanche surgit par derrière.

« Laisse-moi t’aider. »

Comparé à la tenue formelle de Shen Jue, Si Yu portait aujourd’hui des vêtements très décontractés : un T-shirt blanc et un jeans clair. Il saisit la cravate de Shen Jue, baissa un peu la tête et fit courir ses doigts sur la cravate noire.

Une fois qu’il l’eut nouée, il attira soudain Shen Jue devant le miroir de plein pied.

Dans le miroir, les deux hommes se tenaient côte à côte et semblaient très intimes.


Si Yu examina le corps de Shen Jue dans le reflet du miroir et après un moment, il se pinça les lèvres en un léger sourire.

« On dirait que c’est un peu trop grand, mais ça ne se voit pas trop. Je t’emmène d’abord au travail et après, j’irai faire du shopping. »

Shen Jue détourna le visage. Il ne voulait pas voir son reflet dans le miroir dans l’immédiat, car cela lui rappellerait des choses auxquelles il ne voulait pas penser.

« Non, j’ai plein de vêtements chez moi et en plus, je travaille dans une compagnie de mode.

– Mais j’ai envie de t’acheter des vêtements. »


Si Yu se tourna pour se placer devant lui.

« Laisse-moi voir si je peux t’acheter des vêtements qui te vont sans même que tu les essaies d’abord. »

Il garda les yeux fixés sur Shen Jue, comme si c’était vraiment un vœu qu’il tenait à voir exaucé.

Shen Jue croisa ce regard et finit par hocher la tête.

Cet homme en face de lui avait joué bien trop de personnages sur scène et ses yeux pouvaient révéler des myriades d’émotions.


* * *


Quand ils descendirent au parking de l’hôtel, Shen Jue aperçut sa voiture. Si Yu ouvrit la porte conducteur et expliqua :

« Je n’ai pas de voiture ici. J’ai pris tes clefs hier et j’ai essayé de retrouver ta voiture. Une fois que je l’ai retrouvée, j’ai simplement roulé jusqu’ici. »

Shen Jue répondit par un En et monta côté passager.

Si Yu conduisait de manière très souple. Même si quelqu’un le doublait, son visage ne changeait pas d’expression. Il regardait juste l’heure par moment. L’hôtel où il logeait n’était pas très loin du travail de Shen Jue, alors ils arrivèrent à destination en à peine un peu plus de dix minutes.


La voiture entra dans le parking de la compagnie. Après que Si Yu l’ait garée, il fourra un thermos dans les bras de Shen Jue.

« Thé au jasmin, tout juste préparé de ce matin. Tes mains sont trop froides. Tu devrais boire moins de café aujourd’hui. Bois juste du thé ce matin, hein ? »

Shen Jue jeta un coup d’œil à la bouteille isotherme qu’il tenait, puis se tourna pour ouvrir la porte. Au moment où il l’ouvrit, sa manche fut tirée.

La voix de Si Yu lui parvint de l’arrière :

« Attends, tourne la tête vers moi. »

Dès qu’il s’exécuta, il sentit quelque chose effleurer légèrement sa joue. Si Yu se rassit sur son siège, un sourire triomphant dans le regard.

« Okay, tu peux y aller. Travaille bien. »

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* * *


Pendant que Shen Jue était dans l’ascenseur, il garda les yeux fixés sur le thermos qu’il tenait. Les portes s’ouvrirent, mais il ne le remarqua même pas. Ce ne fut que lorsque quelqu’un entra dans la cabine qu’il leva les yeux avec du retard.

Il s’avérait que le jeune homme devant lui était Shang Jiayu.

On avait déjà largement dépassé l’heure de pointer mais quelqu’un comme Shen Jue, qui occupait la position de directeur général, n’avait plus besoin de pointer. Il travaillait dur pour la société tous les jours et même la direction avait une excellente image de lui.

Comme l’heure d’arriver au travail était dépassée, personne ne prenait l’ascenseur en temps normal.


Une fois que Shang Jiayu fut entré dans la cabine, il jeta un regard à Shen Jue.

« Où est-ce que tu as dormi cette nuit ? »

Le ton de sa voix était nettement inquisiteur.

Shen Jue tourna les yeux pour regarder les numéros qui augmentaient plutôt que le jeune Oméga. Mais son attitude indifférente parut enrager ce dernier. Shang Jiayu regarda les vêtements que portait Shen Jue et aussi le thermos qu’il tenait. Il jeta un regard presque féroce à cette bouteille, comme si c’était son ennemie.


Ding —

Quand l’ascenseur arriva au bon étage, Shen Jue sortit le premier. Après quelques pas, il n’entendit pas l’autre sortir alors il ne put s’empêcher de s’arrêter. Il tourna la tête et s’aperçut que les portes s’étaient déjà refermées et que l’ascenseur descendait même.

Shang Jiayu n’était pas sorti avec lui.

En voyant ça, Shen Jue fronça les sourcils. Il trouvait que Shang Jiayu se comportait un peu bizarrement. Mais dès qu’il arriva au bureau, il eut beaucoup de choses à faire. À cause de ça, le comportement étrange de Shang Jiayu ce matin lui sortit complètement de la tête.


À midi, son assistant l’appela comme d’habitude :

« Directeur général, le menu du jour de la cafétéria est… »

L’assistant énuméra plusieurs plats. Tout en l’écoutant, le regard de Shen Jue ne put que dériver vers la bouteille isotherme. Il avait déjà bu la moitié du thé.

Shen Jue avait vécu d’innombrables réincarnations et but Dieu sait combien de thé. Mais effectivement, le thé de Si Yu était très bien infusé. Il était fort en bouche et laissait un arrière-goût plus doux.

« Tu n’as pas besoin de me commander à manger aujourd’hui. »


Après un moment de réflexion, Shen Jue fit à son assistant :

« Quelqu’un du nom de Si Yu va m’apporter à manger plus tard. Tu peux en avertir la réception. »

Bien qu’un peu surpris, l’assistant fit docilement :

« Entendu, directeur général. »

Quand Shen Jue raccrocha, l’assistant appela aussitôt la réception au rez-de-chaussée. Dès qu’il eut fini de parler, il entendit la femme de l’accueil pousser une légère exclamation. Après ça, il entendit également une voix d’homme magnétique et pourtant douce.

« Bonjour, j’ai rendez-vous avec votre directeur général Shen. Je m’appelle Si Yu. »

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Quand Si Yu monta à l’étage, la plupart des employés étaient déjà partis à la cafétéria pour déjeuner. Ceux qui étaient restés gardèrent les yeux fixés sur son visage : d’abord parce qu’il était des plus remarquables et ensuite, parce que ce visage était presque le même que celui de Shang Jiayu.

Les employés pouvaient naturellement dire que cet homme n’était pas Shang Jiayu. Il s’agissait d’un Alpha, et même de ce qui se faisait de mieux en matière d’Alphas. Ce n’était clairement que le visage mais quand ils virent cet homme, ils eurent l’impression que la beauté de Shang Jiayu n’était que superficielle, alors que cet homme-là leur semblait plus beau de l’intérieur comme à l’extérieur.

Ils étaient habitués à être éblouis par la beauté de Shang Jiayu mais quand ils virent cet homme, ils en restèrent carrément sans voix un bon moment. Quand l’homme s’éloigna, leurs yeux restèrent stupidement en train de regarder dans la direction où il était parti.


Il fallut un long moment avant que quelqu’un ne murmure :

« Mon Dieu, que se passe-t’il ? Celui-ci ressemble énormément à cet autre. En plus, il va dans le bureau du directeur général.

– Ce serait son frère ? » hasarda une autre personne.

Tout le monde se regarda avec un air consterné et muet. Une femme eut le cran de dire à voix haute :

« Le directeur général a vraiment de la veine, hein ? Il a déjà le petit frère et maintenant, il a le grand frère. On peut dire que le petit frère est le meilleur Oméga possible, quant à celui-ci, il est simplement… »

Elle réfléchit un bon moment et finit par ressortir un mot de la pile de romans à l’eau de rose qu’elle lisait :

« Un sexe-symbole ! Dans les temps anciens, l’empereur arrivait toujours en retard à l’audience matinale. Pas étonnant que le directeur général soit arrivé en retard aujourd’hui. Et vous avez remarqué ? Les vêtements qu’il porte aujourd’hui ne sont clairement pas à lui. Il ne porte jamais des vêtements de cette marque. »


* * *


Pendant que les employés ragotaient dehors durant leur pause-déjeuner, l’ambiance était différente dans le bureau de Shen Jue.

Les plats typiquement chinois que Si Yu lui avait apportés restaient encore du porridge, mais pas le même que celui du matin. Il y avait aussi de la soupe de poulet. Le poulet avait été bien cuit, désossé et finement émincé.

Shen Jue contempla les plats devant lui et fit d’un ton ébahi :

« Pourquoi il y a encore du porridge ?

– Quand je t’ai appliqué la crème ce matin, je me suis rendu compte que c’était encore un peu… »

Si Yu n’arriva qu’à la moitié de sa phrase car il se rendit compte que Shen Jue le fusillait déjà du regard. Il ne put que pincer ses lèvres en un sourire et battre innocemment des cils.


Shen Jue ne put rien dire de plus. Il baissa la tête pour manger, mais il fut le seul à se servir. Il ne put s’empêcher de demander à l’autre :

« Tu ne manges pas ?

– J’ai déjà déjeuné avant de venir. »

Si Yu se tourna et s’assit sur le divan. Il repéra une pile de magazines sur la table basse, puis tourna la tête pour demander à Shen Jue :

« Je peux les lire ? »

Quand il reçut une réponse affirmative, il prit une des revues.

Il fallait reconnaître que Si Yu se concentra totalement sur sa lecture, ce qui soulagea Shen Jue. Il n’aimait pas qu’on l’observe en train de manger, surtout quand l’autre ne mangeait pas.

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Le temps qu’il termine son repas, il était presque treize heures.

Si Yu récupéra les bols et les baguettes. Il jeta un coup d’œil à Shen Jue qui faisait la tête parce qu’il avait été contraint de terminer un gros plat de soupe de poulet. Si Yu ne put s’empêcher de rire.

« Je te laisse. Je reviendrai te chercher après ton travail.

– Tu veux aussi venir me prendre cet après-midi ? »

Les yeux de Shen Jue exprimèrent sa surprise.

Si Yu acquiesça, son regard sincère.

« Oui, ah. Pourquoi, tu ne veux pas que je vienne te récupérer ? »

En regardant ces yeux, il aurait été difficile de dire le moindre mot de refus.


* * *


Bien que Shen Jue avait accepté que Si Yu vienne le récupérer en voiture, il ne termina pas le travail à l’heure. Il continua à travailler jusqu’à vingt heures et resta encore presque une demi-heure devant la baie vitrée de son bureau. Ce ne fut qu’à ce moment qu’il finit par quitter son bureau pour se rendre dans le parking au premier sous-sol.

Dès qu’il arriva devant sa voiture, la fenêtre s’ouvrit aussitôt et le visage de Si Yu apparut dans l’encadrement.

« Monte. »

Si Yu devait avoir attendu depuis très longtemps, mais il ne montra pas le moindre signe de contrariété quand il vit Shen Jue. Il continua même à sourire tout en discutant sur la route.


À mi-chemin, le portable de si Yu sonna.

Comme il était en train de rouler, il mit tout de suite sur haut-parleur.

« Allô ?

– Bonsoir, c’est bien M. Si Yu ? Concernant votre réservation pour deux de ce soir à vingt heures, cela plus de trente minutes de retard, alors notre restaurant a dû l’annuler. Toutes nos excuses, » fit une voix à l’autre bout du fil.

Shen Jue ne put s’empêcher de jeter un regard à Si Yu.

Ce dernier garda un air normal et après s’être excusé auprès de son interlocuteur, il raccrocha.

« Tu avais réservé une table, pourquoi tu ne m’as pas appelé ? » fit Shen Jue.

Si Yu regarda les autres voitures devant et se contenta de sourire à ces mots.

« On peut toujours aller au restaurant un autre jour. Ton travail est bien plus important. »


* * *


C’était très étrange.

Les deux hommes commencèrent à vivre ensemble de manière inexplicable. Pour être plus précis, Shen Jue n’était pas retourné dans son appartement depuis qu’il avait assisté à la représentation de Si Yu. Il était resté dans la suite d’hôtel de l’autre homme en permanence.

Le matin, Si Yu lui préparait son petit-déjeuner et le conduisait au travail. S’il n’avait pas de répétition à midi, il lui apportait son déjeuner. Le soir, si Si Yu n’avait pas de représentation, il attendait dans la voiture que Shen Jue quitte son bureau. Même si Shen Jue travaillait jusqu’à une heure du matin, Si Yu attendait sans se plaindre.

Il était comme un petit-ami parfait.

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Chu He avait déjà vu Si Yu deux fois. La première fois, il avait ouvert de grands yeux et ce ne fut que la seconde fois qu’il parvint à le saluer. Depuis la rencontre avec Shang Jiayu dans l’ascenseur de l’autre matin, le jeune Oméga ne s’était plus représenté dans la compagnie.

Après le travail le soir, Shen Jue et Si Yu allaient soit au restaurant pour dîner, ou bien Si Yu se chargeait de cuisiner. Il n’autorisait pas Shen Jue à mettre un pied en cuisine, même pour aider. Si le dîner se terminait assez tôt, Si Yu choisissait de vieux films à regarder.

Quand ils regardaient ensemble des films, Si Yu aimait régler la clim très basse. Il éteignait toutes les lumières du salon, prenait une couverture et se pressait contre Shen Jue à côté de lui. La lumière de l’écran se reflétaient sur les visages des deux hommes et les voix des personnages du film résonnaient dans la pièce. Cela donnait une ambiance harmonieuse et chaleureuse.

Ils ressemblaient à n’importe quel couple ordinaire dans le monde.


Après un mois comme ça, Shen Jue retourna enfin à son appartement pour le week-end. Si Yu devait répéter toute la journée, alors il ne pouvait pas venir avec lui.

Bien que cela faisait un mois qu’il n’était pas rentré, il avait continué à demander à la femme de ménage de venir régulièrement. Mais quand il arriva, il s’aperçut que la plupart des plantes sur le balcon étaient mortes.

Celles qui étaient restées en plein soleil étaient toutes mortes et seules deux ou trois pots un peu à l’ombre avaient survécu. Elles se pressaient dans les coins sombres pour éviter la lumière directe du soleil, luttant pour leur survie.


Shen Jue jeta toutes les plantes mortes et se rendit dans la chambre pour prendre des vêtements. Mais quand il entra dans son dressing, il s’aperçut que toutes ses affaires avaient disparu.

Même les sous-vêtements.

Il savait qui avait fait ça, parce que le coupable avait laissé carrément un message sur le miroir du dressing et l’avait même signé :


Tu as tué le rouge-gorge.

Shang Jiayu.


Note de Karura : Même les sous-vêtements ? Mmm…







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