Child of the Night 49

Partie Quarante-neuf : Rescousse

L'an de grâce 1698
Budapest, Hongrie


Rock se réveilla avec un goût infect dans la bouche et une humeur encore plus infecte. Il s'assit en retirant des draps humides de son corps et il prit le pot de chambre de sous le lit. Il fronça les sourcils en voyant qu'il était à moitié plein de choses vireuses, y compris le vomis de son dernier compagnon. Il se leva et se rendit nu à la fenêtre. En l'ouvrant, il jeta le contenu sans se soucier de regarder. Un cri obscène de la rue lui apprit qu'un innocent passant avait mal programmé sa promenade matinale. Rock ignora la clameur, ferma la fenêtre et se vida dans le pot vide mais qui sentait toujours.


Il commença à s'habiller aussi vite que possible en lançant des regards au jeune homme qui ronflait à l'autre bout du lit. Quel était son nom déjà ? Gregory ? Emory ? Il boudait parce que son mac l'avait jeté et Rock avait commencé à lui payer des verres en l'écoutant gémir. Rock s'était rendu compte que Rill avait presque atteint le moment où on ne pouvait plus dire qu'il était jeune. Les profits allaient sûrement baisser. Avec ce qu'il avait gagné du prince Draculea, il avait pensé pouvoir se payer un ou deux prostitués plus jeunes. Celui-là avait semblé être une bonne occasion mais il n'en était plus sûr à présent.


Le garçon avait à peu près seize ans et ses joues et son front étaient marqués par des éruptions d'un rouge vif, rehaussées de pustules jaunes. Ils s'étaient même propagés jusqu'à sa nuque, ses épaules et ses omoplates. Ils étaient aggravés par la tendance du garçon à se gratter et les pincer, et c'était pour cela que le mac avait décidé que le garçon ne pouvait pas gagner suffisamment pendant ce temps. Rock était d'accord, étant donné son état présent, mais il avait soigneusement vérifié le sexe du garçon avant de le prendre et il était satisfait que les éruptions ne soient pas dues à une maladie. C'était simplement le problème de peau qui touchait tant de garçons dans leur jeunesse. Rock sentait que si on forçait le garçon à laver proprement sa peau et qu'on le gardait loin des sucreries et des plats gras, cela se nettoierait sans doute. Étant donné l'irascibilité et le laisser-aller dont le garçon avait fait preuve la nuit dernière, ce serait un défi de le forcer à bien se tenir. Rock sourit cruellement. Il aimait bien l'idée de forcer le garçon à vivre selon ses règles. Rill s'était toujours montré docile — pas vraiment un challenge.


Rock mit ses bottes en regardant toujours le garçon. Sans le rash, ce serait un joli garçon. Ses cheveux sont blonds et son derrière est ferme et rond. Il pourrait être bon si je le tiens bien. Quel est son nom ? Rock haussa les épaules. Si je le prends, c'est moi qui choisirai son nom.


Rock donna un coup dans les côtes du garçon, pas très gentiment. Le garçon bailla (de bonnes dents) et ouvrit des yeux bleus sombres. Rock pécha une pièce de cuivre dans sa bourse et la lui offrit.

« Tiens. »

Le garçon se renfrogna.

« Je demande en général de l'argent. »

Rock fronça les sourcils.

« C'est pour ton petit-déjeuner — je t'ai dit hier que je ne payais pas pour la culbute. Tu peux considérer la nuit dernière comme une audition. »


Le garçon fit la moue mais il prit la pièce en la faisant sauter dans sa main.

« Je m'en suis sorti comment ?

– Correctement. J'aurai besoin d'une autre démonstration, peut-être ce soir. Lave ta figure avant que je te revois. »

Rock se retournait quand il entendit le garçon renifler et marmonner quelque chose de sarcastique. Il se retourna vivement et attrapa le jeune homme par les cheveux en le secouant. Sa victime couina de douleur.

« Pas de ça, mon garçon. Les clients peuvent trouver ça amusant, mais moi pas !

– Oui, oui, très bien ! Je suis désolé. »

Rock le secoua encore.

« Vraiment, monsieur, je suis désolé. Je vais me laver. Je... je vais me laver partout. »

Ravi, Rock relâcha sa prise et lissa les cheveux noirs et épais.

« N'oublie pas tes cheveux. Des cheveux doux et propres sont un bon argument de vente. »


Les yeux bleus du garçon étaient à présent brillants de douleur et d'alarme. Une larme glissa sur sa joue et Rock l'attrapa de son pouce puis la lécha.

« Tu as l'air joli comme ça. Quel est ton nom, mon garçon ?

– Emory. »

Rock leva un doigt, comme un instructeur. Sa voix était menaçante.

« Si cela vous convient, monsieur.

– Emory, si cela vous convient, monsieur.

– Nous verrons. Sois là ce soir. Ne m'oblige pas à te chercher. »

Il partit et un Emory tremblant se demanda si son ancien mac voudrait bien le reprendre s'il était suffisamment humble.

L'aube venait à peine de poindre lorsque Rock revint chez lui. Clothilde grommela en le laissant entrer.

« Pas un moment de paix pour une honnête femme. »

Rock renifla de dédain.

« Où ça, une honnête femme ? »

La propriétaire ignora l'insulte. Rock payait régulièrement aussi acceptait-elle une certaine dose d'impolitesse.

« Ça fait pas une heure que j'ai laissé sortir le grand-seigneur de ton frangin — et maintenant toi. »

Rock fronça les sourcils.

« Il est déjà parti ? Je ne comprends pas. Il paie pour toute la nuit et il a l'air de bien aimer Rill. Pourquoi il ne reste pas ? »

Clothilde haussa les épaules mais juste avant de refermer et de verrouiller sa porte, elle roucoula :

« Peut-être qu'il veut pas te voir. »


Rock était d'assez mauvaise humeur pour la gifler mais elle fut trop rapide pour lui. Il toqua légèrement à sa propre porte. Quand on ne lui répondit pas tout de suite, il frappa les lattes avec son poing.

« Rill ! Bouge ton cul ! »

Il attendit un moment puis utilisa ses bottes pour cogner la porte.

« Rill !

– Je viens, frangin. »

La voix était faible et étouffée.

Rock entendit la clef tourner dans la porte. Il n'attendit pas sur Rill pour ouvrir la porte. Il tourna la poignée et l'ouvrit en grand. Si Rill ne s'était pas tourné, il aurait pu se casser le nez. La porte heurta plutôt son épaule et il chancela en arrière. Ses pieds glissèrent et il s'étala au sol.


Rock ferma et verrouilla la porte.

« Lève-toi, maladroit. »

Rill se remit sur pieds en frottant son épaule. Il bougea lentement en utilisant une chaise pour se tenir debout.

« Qu'est-ce que t'as ? On dirait un vieux. »

Rill cilla lentement.

« Je suis désolé, Rock. C'est juste que je suis si fatigué. »

Il s'assit sur le lit défait.

Rock lui lança un sourire coincé et mauvais.

« Alors même s'il part tôt, le prince y met le paquet. »

Rill acquiesça en souriant d'un air rêveur. Quelque part, l'expression satisfaite et repue de son frère irrita Rock. Il se rapprocha pour examiner Rill.


Rill était nu et sa peau était si blanche qu'elle semblait luire dans la pénombre de la chambre. Même ses lèvres d'ordinaire roses et son gland semblaient pâles. Il crut voir des ombres lavandes sous les yeux de Rill. C'était ses seules couleurs, exceptés ses cheveux noirs, ses yeux... et le bleu sur sa nuque. Rock saisit la joue de Rill, tournant sa tête pour voir de plus près.

Ce pouvait être un suçon — la taille était la bonne. La couleur était cependant étrange. Le centre était violet mais cela virait au rouge-vin et les bords étaient jaunes-verts, comme un bleu qui allait guérir. Et au centre... il plissa les yeux. Il y avait deux taches à nu — comme deux piqûres dont on avait enlevé la croûte.


« Mon garçon, que t'a-t-il fait ? »

Rill toucha les marques avec un sourire pensif.

« Rien.

– Rien ? Tu es marqué. Ça va lui coûter un supplément. »

Il se renfrogna.

« Si on le voit encore.

– Je le reverrai. »

Rill indiqua la table. Il y avait une autre pièce d'or sur la table.

« Il a laissé de l'argent.

– C'est un bon début, mais il va devoir payer plus pour les dommages et encore plus pour monopoliser ton temps. »

Rill fronça les sourcils.

« Mais Rock, ça ne me gêne pas.

– Je t'ai demandé ton avis, idiot ? »


Il regarda à nouveau la table en remarquant les rangées luisantes de soldats et il tendit le doigt.

« C'est quoi ? »

Rill sourit.

« C'est censé être la bataille de Tripoli NdT : Pour la bataille de 1551, l'auteur parle de la bataille de "Sovegny". Je n'ai pas trouvé la traduction de ce nom alors j'ai cherché une bataille se passant en 1551 et impliquant les Turcs. La seule réponse trouvée est Tripoli. (1) en 1551 mais je n'ai pas de soldats turcs. Le prince a dit que Simion pourrait m'en acheter aujourd'hui et nous pourrons la faire correctement ce soir. »

Il bailla.

« Je suis très fatigué. Je ne sais pas si je veux sortir mais je veux vraiment ces soldats. J'ai vu des petits chevaux, peints de différentes couleurs et...

– Mon garçon, tu as perdu le peu d'esprit qu'il te reste ? »

Rock balaya furieusement les soldats de la table.

« S'il veut dépenser de l'argent pour toi, fais-lui acheter des bijoux. On peut les revendre. »

Rill regarda tristement ses précieux jouets éparpillés à terre.

« Je ne veux pas de bijou. J'aime les jouets.

– Toi... »


Rock fit un pas vers Rill. Son pied atterrit sur l'un des soldats. Il glissa et son pied dérapa. Il tomba. Il entendit Rill ricaner légèrement et il perdit le peu de contrôle qu'il avait.

Il bondit et tomba sur son frère. Il frappa plusieurs fois Rill, rapidement et fortement. Rill se roula instinctivement en boule pour échapper à ce piquant assaut mais Rock usa ses deux poings et fit pleuvoir les coups sur ses côtes et son dos. Rill fut assez intelligent pour ne pas crier — cela énervait encore plus Rock. Il gémit :

« J'ai fait quoi, Rock ? J'ai fait quoi ? »

Il finit par pleurnicher.

« Pardon ! Pardon ! »


Les coups s'arrêtèrent mais Rill trembla en entendant le faible bruit de vêtements qui indiquait que Rock ouvrait son pantalon. Il tâcha d'arrêter ses larmes. Rock cessait généralement de la battre lorsqu'il pleurait mais il ne voulait pas qu'il pleure pendant qu'il le baisait, et c'était ce qui allait arriver. Cela se passait presque toujours comme ça.

Rock tapa ses fesses et Rill se mit rapidement à quatre pattes. Le lit se creusa sous lui alors que Rock rampait entre ses genoux écartés. Il n'a pas enlevé ses bottes. J'espère qu'il n'a pas marché dans la boue, sinon je vais devoir demander des draps propres à Clothilde pour le prince, ce soir.


Rock écarta rudement les fesses de Rill et les examina. Son ouverture était un peu relâchée et rose, mais propre.
« Je suis content de voir que tu t'es rappelé de te nettoyer.

– C'est Draculea qui le fait.

– Tu veux dire qu'il te nettoie quand il en a fini avec toi ? »

Rock renifla.

« Il paie rubis sur l'ongle et qu'est-ce qu'il fait ? Il joue les esclaves pour une catin. »

Rock était pleinement excité — discipliner Rill le rendait souvent ainsi. C'était une chance de pouvoir utiliser la même personne qui le faisait brûler pour étancher le feu. Il attrapa les hanches de Rill et entra en lui d'un coup brutal.


Rill cria doucement, étouffant son cri contre l'oreille de crainte que Rock s'énerve encore plus. Draculea s'était à nouveau montré doux mais leur union avait été longue et il était encore un peu sensible. Rock le savait mais cela ne faisait aucune différence pour lui. Il martela le derrière de son frère de toutes ses forces. Le prince et son serviteur dorlotaient Rill et Rock était déterminé à rappeler à son frère à qui il appartenait vraiment.

Heureusement, Rock n'était pas au meilleur de sa forme après une nuit de beuverie et de débauche, et il ne dura pas longtemps. Après une douzaine de coups, il répandit sa semence en Rill en grognant sa satisfaction. Quand il se retira, il y avait un peu de sang sur son sexe mais il le ressuya en disant :

« Tu deviens un peu trop relâché, Rill. Je devrais peut-être demander à la vieille Dervil de coudre un peu ton cul pour le resserrer. »


Alors que Rock quittait le lit, Rill s'effondra, ses membres tremblants se dérobant sous lui. Si Rock avait daigné faire attention, il aurait remarqué que la respiration de son frère était trop rapide mais il était plus concerné par la pièce d'or sur la table. Il la prit et l'admira avant de la glisser dans sa bourse.

« Cet affreux bâtard qui était venu hier, il revient encore aujourd'hui ? »

Quand il n'eut pas de réponse, Rock gifla Rill sur la tête.

« Alors ?

– Oui. Simion va venir me chercher pour manger. »

Sa voix était un murmure.

« Il a dit que je pourrai avoir le spectacle de marionnettes au marché, si je voulais.

– Une perte de temps, mais le prince paie pour ça. J'aurai sans doute faim en rentrant demain alors fais-lui acheter de la nourriture — du pain, du fromage et des saucisses. Dis-lui que tu veux une autre bouteille de vin — une bonne.

– Il reste encore du vin. »


Rock le frappa à nouveau.

« Tu penses un peu à moi, espèce d'égoïste. Dis-lui qu'il doit laisser plus d'argent cette fois, compris ? Moitié plus... non, le double. Oui, le double s'il veut te revoir après ce soir. »

Rock partit sans un autre mot ou un regard en arrière. Rill se roula en boule en tirant les draps sous son menton et pourtant il tremblait toujours. Il avait si froid depuis que le prince était parti. Son pauvre esprit, d'habitude un peu confus, tourbillonnait à présent mais ses pensées désordonnées ne le tinrent pas éveillé. Il sombra rapidement dans un sommeil profond et éreinté qui était presque de l'inconscience.

Clothilde grommela en faisant entrer Simion.

« Vous allez m'faire bosser jusqu'à ma mort. C'était une maison si calme et paisible et maint'nant, j'suis dérangée à toute heure du jour et d'la nuit. »

Simion l'ignora et toqua à la porte de Rill. Il n'y eut d'abord pas de réponse et il sentit une pointe d'impatience. Il se rendit compte qu'il était impatient de voir le garçon et il n'aimait pas ce retard. Quand un autre toquement ne le fit pas venir, il se tourna vers Clothilde qui était restée.

« Il est sorti ? »

Elle secoua la tête.

« J'fais entrer et sortir les gens. Son frère est parti mais Rill était pas avec lui. L'est resté toute la nuit. L'est peut-être bourré. »

Elle gloussa méchamment.

« L'a p't-être perdu le peu de tête qui lui restait et... »

Elle se tut en voyant le regard froid de Simion.

« J'peux chercher une clef, si le garçon va mal. »

Simion tenta d'ouvrir la porte et vit qu'elle n'était pas verrouillée.

« Ce ne sera pas la peine. Retournez à vos affaires. »

Il attendit qu'elle ferme sa porte avant d'entrer.


La chambre était chaude et sombre mais Simion put distinguer une silhouette couchée sur le lit.

« Rill ? »

La forme bougea légèrement. Simion alluma la lampe de chevet et se rendit près du lit.

« C'est l'heure de se lever, mon garçon, si tu veux manger avant de voir ce spectacle. »

Tout ce qui était visible au-dessus du drap, non, des draps. Il doit étouffer avec la chaleur, était une masse de boucles sombres. Simion posa la main sur l'épaule de Rill pour le réveiller et sentit qu'il tremblait.

« Rill ! »

Le visage qui le regarda était presque aussi blancs que l'oreiller sous lui, ses yeux immenses. Simion put voir les traces collantes de larmes sur ses joues.

« Simion... »

La voix de Rill était un murmure.

« Désolé. Je crois que je suis malade. Je ne vais pas pouvoir sortir aujourd'hui. »


Il se leva, lentement et douloureusement. Le visage de Simion se peignit d'inquiétude en voyant les bleus marquer les épaules et le dos du garçon. Draculea n'a pas fait ça, ce qui ne laisse qu'une seule personne. Simion toucha un des endroits pourpres et Rill baissa la tête.

« Je suis tombé. Quel maladroit. »

Simion prit son menton en le penchant pour qu'il puisse voir le visage de Rill, et il fit :

« Pourquoi Rock t'a-t-il battu ? »

Rill laissa tomber.

« Je n'aurais pas dû rire quand il est tombé. Je sais qu'il n'aime pas ça. Si je n'avais pas ri, il n'aurait pas eu à me corriger. »

Simion se pencha vers lui en passant ses bras autour du cou du garçon. Rill passa ses bras autour de la taille de Simion en pressant son visage contre le corps de l'autre homme, se nichant contre lui.

« J'ai si froid, Simion. »


Simion caressa les cheveux du garçon.

« Je vais devoir te laisser quelques minutes, Rill. »

Quand il essaya de se libérer, le jeune homme s'accrocha à lui et il retira ses bras avec réticence.

« Je reviens tout de suite, c'est promis. »

Rill ressuya son visage du revers de sa main. D'une voix désespérée, il fit mornement :

« Rock m'a promis deux nuits de repos.

– Cette fois, mon garçon, il tiendra sa promesse. »

Il déposa un baiser sur le front de Rill.

« Je te le jure sur mon sang. »


Au pâté de maison voisin, il trouva un gamin des rues qui voulait bien déposer un message à la demeure de Draculea pour une pièce de cuivre à son retour. Il retourna auprès de Rill et Clothilde eut la bonne idée de ne faire aucun commentaire lorsque le tzigane arriva peu après.

Simion le rencontra devant la maison. Jetant une pièce au garçon qui disparut rapidement pour dépenser sa récompense, Simion parla avec l'homme basané en utilisant le dialecte romanichel, puis ils entrèrent tous les deux.


Simion enroula Rill dans les couvertures.

« On va faire un tour à cheval, Rill. Je suis désolé, ce n'est pas une voiture mais je vais m'asseoir avec toi derrière. »

Quand Rill sembla réticent, il fit :

« Je t'emmène chez le prince. »

L'expression de Rill s'effondra.

« Oh, Simion, c'est impossible ! Je suis si laid en ce moment. Les bleus seront sans doute partis ce soir mais je ne peux pas le laisser me voir ainsi.

– Il ne reviendra pas avant le coucher du soleil, » lui assura Simion.

Alors que le tzigane et lui aidaient Rill à se mettre sur pieds, il fit d'un air grave :

« Et il doit te voir ainsi. »


Notes du chapitre :
(1) NdT : Pour la bataille de 1551, l'auteur parle de la bataille de "Sovegny". Je n'ai pas trouvé la traduction de ce nom alors j'ai cherché une bataille se passant en 1551 et impliquant les Turcs. La seule réponse trouvée est Tripoli.






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