Child of the Night 120

Chapitre Cent vingt : Profonde réflexion


L'an de grâce 1892
L'abbaye de Carfax


Sinn regarda Quincy, les yeux mi-clos.

« Je pense, mon ami, qu'il serait bon pour toi de découvrir un peu plus comment je vis. »

Il sourit.

« Ou devrais-je plutôt dire comment j'existe ? T'est-il possible de passer la nuit hors de la demeure des si corrects Westenra sans qu'on te pose de questions ?

- Je suis adulte et sain d'esprit, répondit Quincy. Je peux faire tout ce que je veux, tant que je ne me fais pas arrêter par la police.

- Et si tu restais alors avec moi jusqu'à demain soir ? Tu pourras me voir dans mon état le plus naturel. »

Il sourit et la lumière se refléta sur ses canines.

« Si tu me vois en tant que cadavre et que tu veux toujours de moi après, je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas entre nous. »


Quincy tendit la main pour caresser le torse lisse et pâle de Sinn, et il pinça rudement un téton encore ferme.

« Ce dont j'ai envie maintenant, c'est de te sauter dessus pendant que tu seras... eh bien... hors d'état de te défendre. »

Sinn eut un léger rire.

« Ne crois pas qu'on ne me l'ait pas déjà fait avant ou bien que je ne l'ai pas apprécié.

- J'ai cependant une question. Je reste avec toi ou bien tu viens avec moi ? »

Le sourire de Sinn vacilla et il prit un air songeur.

« Je t'avoue que je ne sais pas vraiment. Avant, j'aurais dit que quitter Draculea était hors de question — il est très possessif. Mais à présent qu'il a trouvé son propre amour... »

Quincy sourit en se frottant la nuque.

« Ouais, c'est sacrément évident qu'il s'est entiché de Harker. »


Sinn secoua la tête.

« Ce n'est pas aussi simple que ça, *chéri*. Leur histoire est longue et fascinante, mais ce n'est pas le moment de la raconter. Je dirais juste que leur relation est bien plus forte et ancienne que Jonathan ne peut le concevoir pour le moment.

- Et qu'est-ce que TOI, tu en penses ? »

Sinn se mordit les lèvres.

« J'aimerais être sous ton entière domination, Quincy, mais est-ce bien raisonnable ? Personne ne posera de question si l'escorte de Draculea s'agrandit et il retournera bientôt en Transylvanie de toute manière. Mais toi ? Je ne doute pas que ta famille verrait d'un bon œil que tu ramènes un visiteur avec toi — mais si ce visiteur reste... et reste... et reste, et ne vieillit jamais... »


Quincy hocha la tête.

« Je vois ce que tu veux dire, mais ce serait possible. Mes terres sont vastes et les gens là-bas sont plutôt du genre à s'occuper de leurs affaires, si on le leur fait comprendre.

- Draculea est bien installé dans cette vie. Personne n'ose aller contre lui sur son domaine. Il est plutôt riche — oui, je sais que tu es toi aussi aisé, mais il a la fortune d'un prince, Quincy. Il est vieux, très vieux, et très avisé en ce qui concerne la protection de ses biens. C'était un grand guerrier de son temps. L'Europe tremblait rien qu’en entendant son nom. »

Quincy grogna.

« Il a l'air paisible comme ça mais ouais — je sentais bien qu'il y avait quelque chose de dangereux en lui. Nous n'avons pas besoin de décider tout de suite, de toute façon. Je vais te dire ce que je veux... »

Sinn sourit en se frottant contre lui.

« Oui, dis-moi ce que tu veux. »


Quincy passa un bras autour de lui pour lui pincer les fesses.

« Je veux m'habiller et chercher Simion pour connaître son avis. J'ai l'impression que Dracula l'écoute plus que les autres. »

Sinn fit une petite moue alors que Quincy remettait ses vêtements, mais il fit :

« Tu as raison sur ce point, mon cher Quincy. J'aurais bien du mal à définir leur relation. La partie sexuelle est passée et Draculea est toujours clairement le maître mais... »

Il se pinça les lèvres.

« Père, frère, amis pour la vie... Ce n'est pas que ça mais c'est aussi fort que ces forces qui gardent les planètes en orbite. Oui, il serait sage de lui demander son avis, ajouta-t-il en souriant. Tu n'auras pas de points en plus pour la flatterie mais cela ne semble pas t'inquiéter. »

Quincy leva un doigt en un salut vulgaire avant de quitter la pièce, laissant Sinn rire doucement.

Quincy descendit les escaliers et marqua une pause pour réfléchir à l'endroit où il aurait le plus de chance de trouver Simion. Il entendit alors un couinement en dessous des escaliers et un murmure doux et enjôleur. Curieux, il se mit sur le côté pour voir la petite alcôve formée par les contremarches.

Un petit homme aux cheveux noirs, vêtu d'un simple pyjama, était agenouillé dans un coin, tournant le dos à Quincy. Alors que Quincy l'observait, il l'entendit murmurer :

« C'eeeest ça, miss Souris. C'est du bon fromage frais. Tu n'as qu'à sortir juste un peu, et l'un de nous pourra avoir à manger. »

La main de l'homme s'abattit brusquement et il y eut un cri triomphant mêlé d'un couinement frénétique. Le couinement fut rapidement étouffé lorsque l'homme leva la main à son visage. L'estomac de Quincy se crispa lorsqu'il entendit mâcher. Mais il était autant fasciné que choqué, et il regarda l'homme finir puis tourner la tête pour recracher une boule constituée de poils et d'os, Quincy aurait pu le jurer. Puis l'homme tourna la tête pour regarder Quincy et il fit d'un ton calme :

« Je vous ai entendu, vous savez. Merci de ne pas avoir effrayé mon en-cas. »


Il se retourna complètement et s'assit dans le coin, jambes croisées, et lança un regard curieux à Quincy.

« Vous êtes grand. »

Son visage s'illumina soudain.

« Je vous reconnais ! Vous êtes venu avec Jonathan quand il m'a rendu visite en enfer. »

Quincy s'éclaircit la gorge et répondit d'un ton uni, comme si c'était une simple conversation banale :

« En effet. Je suis Quincy Morris et vous, c'est Robert Renfield. »

Renfield fit une brève grimace.

« Je sais qui -je- suis, homme ridicule. Pas comme certains que je pourrais nommer. Je me souviens de vous parce que vous paraissiez gentil, même si vous êtes si grand. Vous êtes presque aussi grand que le Maître. »

Il parle sûrement de Dracula.

« Il n'est pas gentil ? »


Renfield sembla surpris, puis légèrement confus.

« Eh bien... »

Il réfléchit un peu.

« Il est le Maître. Il ne peut pas être gentil TOUT le temps mais c'est en général le cas, tant que vous n'avez pas été trop vilain. Il n'a pas été gentil avec Rock... »

L'expression de Renfield s'assombrit de douleur, de rage et de chagrin.

« Mais Rock a été très, TRÈS vilain. »

Il pencha soudain la tête et lança un regard curieux à Quincy.

« Je croyais qu'ils avaient dit que vous étiez avec Sinn. Il en a déjà terminé avec vous ? Je ne crois pas que ce soit son genre. »

Quincy sentit ses sourcils se hausser devant la franchise de l'autre homme, mais il se contenta de répondre :

« Nous faisons une pause. Il faut que je parle à l'ami de monsieur Rill — Simion.

- Je sais où ils sont, fit Renfield en bondissant sur ses pieds. »

Il dépassa Quincy, s'insinuant dans un espace que l'autre homme aurait cru bien trop petit pour qu'il passe.

« Eh bien, suivez-moi. »


Il s'engouffra dans les profondeurs de la maison en trottant presque. Quincy le suivit en secouant la tête. Renfield était de toute évidence fou mais Quincy avait la vague impression qu'il pouvait également être bien plus heureux ainsi que lorsqu'il avait été 'normal'. À présent, il pouvait dire exactement ce qu'il pensait puisqu'on n'attendait plus de lui qu'il suive les règles de la société polie.

Quincy suivit Renfield qui trottait le long d'un escalier de service et suivait un long et sombre couloir. Les portes étaient suffisamment rapprochées pour qu'il en déduise que les pièces étaient petites — très petites, et il supposa qu'il s'agissait autrefois de l'aile des serviteurs. Ils tournèrent dans un couloir qui était un peu mieux entretenu, et Renfield se dirigea vers une porte à mi-chemin. Puis il s'arrêta, sa main sur la poignée, observant Quincy avec une légère irritation à cause de sa lenteur. Quincy se surprit à allonger le pas. Renfield toqua à la porte et une voix de l'intérieur répondit :

« Entre, Robert. »


Renfield ouvrit la porte et se glissa à l'intérieur, suivi par Quincy. La pièce était plus éclairée que le reste de la maison grâce à plusieurs lanternes et un bon feu. Quincy n'eut besoin que d'un coup d'œil pour arriver à la surprenante conclusion que cet endroit avait été jadis la chambre d'enfant ou bien la salle de jeux. Il y avait deux petits lits contre un mur, avec un lit pour adulte entre eux (certainement pour la nourrice). Une table miniature et des chaises assorties se dressaient près de la cheminée, garnie d'un service à thé de dînette poussiéreux. Son jugement rapide sur cette pièce reposait aussi sur un cheval à bascule branlant, un cerceau, une corde à sauter et un ensemble de poupées plutôt simples. Il supposa que la porcelaine et les beautés de cire avaient été embarquées quand les derniers occupants étaient partis.


Il considéra tout cela mais son attention fut rapidement attirée par le tapis devant la cheminée. Une vieille baignoire en cuivre y trônait. Alors qu'elle aurait dû être à sec, elle était remplie d'eau et une impressionnante goélette à trois mâts y flottait. Alors qu'il regardait, Rill (qui était agenouillé près de la baignoire) poussa gentiment le bateau du doigt et l'observa avec un plaisir évident alors qu'il voguait majestueusement sur la petite mer, heurtant le bord lointain avec un léger cliquement.

« Je l'ai envoyé à Madagascar, Simion, fit-il avec joie. Il va chercher un chargement de bananes, de noix de coco et peut-être d'orange-août... ?

- D’orangs-outans. »

Quincy n'avait pas remarqué Simion qui se tenait dans un coin sombre mais il avait pressenti qu'il ne serait pas loin de Rill, veillant soigneusement sur lui.

« Cela veut dire 'vieil homme de la forêt'. »

Rill rit.

« C'est stupide. Les vieux hommes ne vivent pas dans la forêt. »

Puis il parut dubitatif.

« Pas vrai ?

- Certains d'entre eux le font peut-être. Rill, tu ne dis pas bonjour à notre invité ?

- Robert n'est pas un invité, il est... Oh ! »


Rill regarda plus loin que Renfield, qui était venu s'agenouiller de l'autre côté de la baignoire. Les mains sur le rebord, il étudiait le bateau avec autant d'intensité que Rill — comme s'il attendait que les petits marins surgissent et commencent à débarquer sur le rebord.

« Bonsoir, monsieur Quincy. Je pensais que vous étiez avec Sinn.

- Je le croyais aussi, murmura Robert. Je sais que Sinn ne se fatigue jamais, alors ce doit être... »

Il ne finit pas sa phrase, lançant un regard salace à Quincy.

« Je ne suis pas là pour discuter de mes performances, mon gars, fit doucement Quincy.

- Vous voulez jouer au marchand avec nous ? » demanda Rill.

Il baissa les yeux.

« Je sais que certaines personnes pensent que ce n'est que pour les enfants. »

Il leva à nouveau les yeux d'un air de défi.

« Mais j'aime ça.

- C'est un bon jeu, approuva Quincy. Mais je joue toujours le rôle du pirate. En fait, je suis venu pour parler un peu à Simion, s'il a le temps. »


Simion sourit légèrement.

« Mister Morris, j'ai largement le temps. Rill, Robert — pas d'éclaboussures. Vous avez presque éteint le feu la dernière fois. Monsieur Morris, il y a une pièce à côté qu'on a rendue vivable. Voudriez-vous m'y accompagner ? J'ai trouvé un assez bon vin dans la réserve.

- J'en serais ravi. »

Ils se dirigèrent vers une pièce attenante qui avait été si bien nettoyée qu'elle semblait avoir été occupée tout le temps que l'abbaye était restée déserte. Simion vit sa tête et engloba la pièce du regard.

« C'est Rill. Il adore nettoyer. S'il n'était pas déjà mort, il se tuerait au travail pour remercier Dracula de ce qu'il a fait pour lui.

- Le Comte semble inspirer des émotions très fortes, » nota Quincy en s'asseyant tandis que Simion alla leur servir deux verres de vin.


Simion revint et lui tendit un verre, puis s'assit à côté de lui.

« Vous ne faites pas erreur. Il y a eu des légions entières de gens qui auraient tué pour lui ou seraient mortes pour lui — c'est selon. »

Quincy prit une gorgée de vin et Simion l'étudia un moment, puis fit :

« Sinn vous a parlé de notre petite famille.

- Ouais. »

Il se frotta le front.

« Je ne dirais pas que ce fut la plus grande surprise de ma vie. Je savais que vous étiez différents, mais je ne pensais pas que c'était à ce point.

- Et il vous a parlé de moi ? »

Quincy hocha la tête.

« Vous a-t-il dit que j'ai été le tortionnaire et le bourreau du Prince ? Que je connais les potions et les herbes qui peuvent tuer en un instant ou bien laisser la victime agoniser horriblement pendant des semaines ? »

La bouche de Quincy s'assécha. Simion sourit.

« Auriez-vous accepté si facilement ce vin si vous l'aviez su ? Ne craignez rien, monsieur Morris. Vous n'êtes pas un danger pour les gens que j'aime alors vous êtes en sécurité — pour le moment. Pourquoi vouliez-vous me parler ?

- Sinn m'a proposé quelque chose. »


Simion eut un sourire entendu et Quincy ne put que l'imiter.

« Ouais, ce genre de propositions aussi. On a en quelque sorte bien accroché et j'aime passer du temps avec lui — BEAUCOUP de temps. Il est sympathique et il a suggéré que plutôt que je devienne comme Rill ou lui, je devienne comme vous.

- C'est très raisonnable de sa part. Je ne suis pas sûr que le maître voudrait qu'il y ait un nouveau vampire. Il croit savoir comment le faire mais il n'est pas sûr que Rill ou Sinn aient la force requise. Ils ont été tous deux créés par accident. Ma propre situation fut une expérimentation qui a heureusement réussi. Nous avons fait la même chose avec Renfield et déjà, il est plus fort qu'avant. Je crois que ça va fonctionner pour lui et que ça fonctionnerait aussi pour vous.

- En quoi cela consiste-t-il ?

- La confiance. Sinn vous nourrit et si besoin est, vous le nourrissez. Le Maître va probablement vous nourrir aussi de temps en temps au début pour être sûr que votre sang sera assez fort pour prendre et utiliser ce que Sinn vous donnera.

- J'ai parlé avec lui et il a raison sur un autre point : je ne pourrai pas le ramener chez moi — pas de façon définitive. Je devrais donc m'en aller loin de ma famille dans un endroit où personne ne me connaît. Et il ne faudrait pas qu'on reste trop longtemps au même endroit sinon les gens finiraient par avoir des soupçons. Mais si je dis à ma famille que j'ai décidé de rester en Europe pour étendre l'affaire familiale — ils seront d'accord. Vous croyez que Dracula accepterait de me prendre parmi ses gens ? »


Simion sourit.

« J'en suis persuadé. Sinn n'est pas son animal domestique mais il n'a aucune animosité envers lui. Dracula a connu de grands moments de joies dans sa vie mais malheureusement ils furent brefs. Cela lui fait du bien de voir les autres être heureux.

- Alors comment je procède ? »

Simion secoua la tête.

« D'abord, apprenez à ne pas être aussi impatient. Vous allez devoir changer votre conception du temps, Quincy. »

Quincy remarqua que Simion venait d'utiliser son prénom, et il se détendit. Il savait que si Simion l'acceptait, ce serait déjà un long chemin de parcouru pour obtenir l'accord final de Dracula.

« Depuis combien de temps êtes-vous avec Dracula ?

- Très, très longtemps. Quatre siècles à peu de chose près. »


Quincy prit une gorgée de vin.

« Oui, songez-y. Cette durée de vie peut devenir réalité. Je n'ai pas l'impression d'avoir vieilli d'un jour depuis que Dracula s'est coupé et m'a laissé boire le sang dans sa main pour la première fois. Et cette longévité peut devenir un fardeau si vous n'avez personne avec qui la partager.

- Et si j'arrêtais de boire du sang ? »

Simion haussa les épaules.

« Je ne sais pas — je n'ai jamais songé à arrêter. Mais j'imagine que vous recommenceriez alors à vieillir normalement. »

Il sourit.

« Pas comme dans cette histoire d'Oscar Wilde Oscar Wilde a publié 'Le Portrait de Dorian Gray' en 1890, aussi est-ce parfaitement logique que Simion le connaisse (Sinn aime se faire régulièrement approvisionner de magasines, journaux et livres récents au château. Draculea n'y voit pas d'objection — hey, ça remplit la bibliothèque). (1). »

Quincy resta songeur, les yeux fixés sur son verre dont il prenait une gorgée par moment. Simion attendit patiemment. Il avait toujours été patient mais il avait affiné cette qualité avec le temps. Quincy faisait face à un choix qui allait changer à tout jamais sa vie comme il ne l'avait jamais imaginé — il méritait de prendre son temps.


« Finalement, Quincy leva les yeux et fit :

« Je ne vois pas ce qu'il y a de mal dans l'offre de Sinn et j'y vois tant de bénéfices. Il me faut juste l'approbation de Dracula pour que je commence à régler les choses afin qu'ils puissent se passer de moi aux Amériques.

- Je suis content que vous ayez pris cette décision, approuva Simion. Je vais être honnête avec vous, Quincy — je doute qu'on vous aurait laissé en vie si vous aviez fait un autre choix. Même si Draculea aimerait faire confiance aux autres, il a vécu trop longtemps et vu bien trop de trahisons pour risquer sa sécurité ou celle de ceux dont il s'occupe. »

Quincy hocha la tête, comprenant parfaitement.

« Je voudrais que Sinn soit avec moi quand j'irai lui parler. Viendriez-vous vous aussi pour donner votre avis ? »

Simion vida son verre.

« J'accepte avec joie d'être votre parrain, Quincy. Ce sera bien d'avoir quelqu'un d'autre comme moi. »

Il se leva.

« Pourquoi n'iriez-vous pas chercher Sinn maintenant ? Je vous rejoins dans le petit salon. Le Maître a tendance à y passer du temps. Il y a de nombreux livres. Il se sent en paix quand il est entouré de livres.

- Il lit beaucoup, n'est-ce pas ?

- Non, fit Simion en se dirigeant vers la porte. Mais vous comprendrez mieux quand vous aurez passé plus de temps avec nous. »


Notes du chapitre :
(1) Oscar Wilde a publié 'Le Portrait de Dorian Gray' en 1890, aussi est-ce parfaitement logique que Simion le connaisse (Sinn aime se faire régulièrement approvisionner de magasines, journaux et livres récents au château. Draculea n'y voit pas d'objection — hey, ça remplit la bibliothèque).






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