Lanterne 19

Chapitre 19 : Mon ex-femme est si douée pour mouiller


En cet instant, Zhou Hui ne dit rien. Il se contenta de fixer Chu He, ses yeux s’attardant longuement sur la clavicule visible par le col ouvert.

Après plus de dix secondes, il se ressaisit soudain et demanda :

« Qu’est-ce que tu fous ici ?! »

Tan ne s’attendait clairement pas à ça, alors il resta bêtement planté là. Plusieurs amis autour de Zhou Hui en restèrent figés à leur tour. Les bruits de conversations, les rires et la beuverie moururent lentement.

Chu He s’approcha de lui à grands pas, une main dans la poche. De l’autre, il saisit Zhou Hui par le col et le souleva — malgré sa silhouette très fine, il avait beaucoup de force. Il entraîna subitement Zhou Hui, tirant le sofa avec lui qui heurta même la table basse. Ce fut si violent que les assiettes de fruits et les bouteilles d’alcool se renversèrent et tombèrent par terre. Une bouteille de cognac hors de prix se brisa en mille morceaux.


Chu He retira sa main de sa poche pour frapper violemment ce visage si splendide qu’il suscitait l’admiration de tout le Parti.

« Tu as filé en un clin d’œil, tout ça pour venir draguer une fille. Tu es vraiment pas croyable, hein ?! »

Le coup fut si violent que Zhou Hui retomba en arrière sur la table basse, le reste d’alcool éclaboussant son corps. Les gens autour se dressèrent d’un bond en hurlant de panique !

Zhou Hui secoua vigoureusement la tête pour s’éclaircir l’esprit. Il inspira deux fois, puis bondit pour saisir Chu He par le col.

« Putain, t’es sérieux ou quoi ?! Je le savais, merde, ça fait longtemps que tu rêvais de m’en coller une, pas vrai ?!

– C’est vrai, et je vais te filer une bonne raclée ! répliqua Chu He en le repoussant d’un coup de pied. Et si tu n’es pas content, c’est le même prix ! »


Zhou Hui retomba de nouveau misérablement sur le sofa. Sa tête cogna le mur avec un bruit sourd et il faillit cracher un caillot de sang. Xiao Si, qui portait une robe blanche, bondit pour s’enfuir. Plusieurs princesses et jeunes maîtres se mirent également à hurler, choqués. Voyant Chu He enjamber la table basse de ses longues jambes pour continuer le combat, Tan se précipita pour l’arrêter :

« Frère Zhou ! Frère Zhou, vous allez bien ?! Directeur Chu, qu’est-ce que vous faites ?! Vite, les autres, aidez-moi à le retenir ! »

Ce ne fut qu’à ce moment que tout le monde parut reprendre ses esprits. Plusieurs de ces fils d’hommes influents et riches qui se tenaient plantés là, bouche béé, se précipitèrent à leur tour en criant :

« Qu’y a-t’il ? Qu’y a-t’il ? »

Ils tentèrent de séparer les deux hommes.


Mais Zhou Hui était devenu furieux à présent. Il repoussa Tan qui tentait de lui barrer la route et rugit :

« Et toi alors, tu n’es pas aussi venu dans ce genre d’endroit ? Comment oses-tu faire la morale à ce grand-père ?! »

En disant ça, il se rua droit vers Chu He pour lui empoigner les épaules. À cause du puissant élan, les deux hommes tombèrent au sol.

Zhou Hui ignora les tessons de verre qui recouvrirent son corps et il tendit les mains pour étrangler Chu He. Ce dernier lui attrapa les mains et se servit de son élan pour le propulser par-dessus son corps. Rien qu’en comparant leurs statures, personne n’aurait pensé que Chu He savait si bien se battre. Quelques personnes craignirent que les choses ne dégénèrent, alors ils appelèrent avec urgence la responsable et les employés :

« Faites venir la sécurité ! Appelez la sécurité !

– Que personne n’appelle personne ! rugit Zhou Hui furieusement en entendant ça. Ne bougez pas ! — Feng Si, espèce d’enfoiré, ce grand-père va te filer une bonne correction aujourd’hui ! »

Traduction faite par Karura Oh. Lisez sur mon site http://karuraoh.free.fr ou sur Scan Manga. Si vous la voyez sur un autre site, c'est qu'ils ont volé cette traduction !

Sur le côté, quelqu’un fit d’un ton perdu :

« Le chef d’équipe Feng Si ? Comment ça pourrait-être lui ?

– Ce n’est pas normal, ah ! On ne dit pas que le chef d’équipe Feng Si est d’une beauté rare ?

– Qu’est-ce que qu’on doit faire maintenant ? Arrêtez de vous battre, parlez plutôt pour arranger les choses ! … »

Plusieurs hommes prêts à intervenir pour mettre un terme à ce combat s’arrêtèrent et hésitèrent quand ils apprirent qu’il s’agissait d’un conflit interne. Seul Tan craignait vraiment que son invité ne réduise Zhou Hui en bouillie et que ça lui attire des problèmes par la suite, alors il voulut se lever pour s’interposer dans le combat. Cependant, étant donné que Zhang Shun voyait que son grand frère avait l’avantage, il fit tout de suite un croche-pied en traître à Tan qui s’étala par terre avec un grand bruit, parmi les bouteilles cassées.

Zhou Hui en profita pour tirer Chu He dehors. Les deux hommes continuèrent de se battre au milieu des hurlements des femmes, roulant par terre tout le long du couloir jusque dans la salle privée où les serveurs apportaient les plats. On entendit un gros bang et la voix furieuse de Zhou Hui qui jurait :

« Putain ! Tu veux buter ce grand-père ou quoi ?! »


* * *


Une fois dans le couloir, Zhou Hui jura et renversa la situation.

Il pressa rudement la gorge de Chu He, le poussant contre le mur, et enfonça de force son autre main dans son col tout en sifflant furieusement :

« — Alors comme ça, tu avais vraiment envie de me cogner, hein ? Ça fait longtemps que tu voulais faire ça, hein ?!

– … »

Chu He attrapa sa main vagabonde et fit :

« Tu te fais des idées. »

Zhou Hui désigna l’entrejambe de Chu He et fit d’un ton rageur :

« Demain, cette histoire va faire tout le tour du Ministère de la Sécurité de l’État. Ça ne te suffit pas que ce grand-père ait sorti le grand jeu pour jouer les idiots ce soir ? Après avoir ruiné ton homme, tu comptais te servir de ton concombre Vous l’aurez deviné, ça se réfère au pénis. (1), n’es-tu pas stupide, ah ?

– … »

Chu He reprit plus calmement :

« Je t’ai dit que tu te fais des idées ! Retire tes mains ! »


Mais Zhou Hui le retourna et lui pressa le visage contre le mur. Chu He portait une tenue très moulante ce soir, mais Zhou Hui était si fort qu’il déchira presque sa ceinture en cuir en voulant la défaire. Il appuya son avant-bras sur la nuque de Chu He pour l’empêcher de se débattre, tandis que son autre main descendait directement le long de son dos, en-dessous de la taille. Il toucha l’orifice au bout de la ligne concave, puis inséra rudement deux doigts.

Chu He grogna. Bien qu’il y avait une douleur évidente dans sa voix, on pouvait aussi entendre un plaisir très réprimé au milieu de la douleur.

« Quel… quelqu’un va venir ! Arrête !

– Si quelqu’un vient, je le tue. »

Zhou Hui enfonça ses doigts de plus belle.

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Il se pencha pour lui murmurer à l’oreille :

« Mais avant de le tuer, je le laisserai regarder comment je te baise et comment tu pleures et tu me supplies d’aller plus vite… C’est dommage que je ne t’ai pas enregistré la dernière fois. Tu es du genre à ne plus connaître personne une fois hors du lit. Ça fait des jours qu’on ne s’est pas vus et là, tu me joues cette comédie à peine arrivé. Qu’est-ce que tu fabriquais avec ce Tan dans le box privé d’à côté ? »

Chu He se tint au mur d’une main et retint la main de Zhou Hui de l’autre. Hélas, les doigts qui s’agitaient en lui n’avaient pas du tout l’intention de s’arrêter. Ce fut alors qu’il entendit des bruits de pas en provenance de l’escalier non loin.

« … Lâche-moi ! » haleta lourdement Chu He avant de poursuivre d’une voix rauque : Je ne t’ai pas encore dit le principal, tu es…

– Je suis le méchant qui te fait pleurer, » compléta fièrement Zhou Hui pour lui.


Finalement, il le prit en pitié et retira ses doigts de lui. Il les agita devant ses yeux d’un air très intime et commenta :

« Regarde, tu es si mouillé et pourtant, tu persistes à parler boulot. »

Chu He le lâcha et de ses mains tremblantes, il remit de l’ordre dans sa tenue, fermant les boutons de sa chemise déchirée un par un.

« — Je suis allé pendant deux jours à l’endroit dont tu m’as parlé la dernière fois, mais je n’ai rien trouvé. »

Il remit sa ceinture en haletant et poursuivit d’un ton encore un peu rauque :

« Il se peut que tu te sois trompé dans tes suppositions, alors fais attention et observe ça à nouveau. »

Zhou Hui se frotta le menton.

« Ça ne coûte rien de se montrer prudent. Continue à surveiller, je vais continuer à interroger notre pauvre ami malchanceux — Pour être honnête, je pense qu’il va vraiment devenir fou s’il reste ici… »

Il se frotta les doigts et eut un léger rire :

« Chère ex-femme, tu mouilles vraiment beaucoup, ah. Je t’ai manqué tant que ça ? »

Chu He le gifla d’un mouvement naturel, le faisant reculer un peu de manière efficace.


Au même moment, les bruits de pas à l’autre bout du couloir se rapprochèrent de plus en plus. Les gens du box privé n’y tenaient finalement plus et étaient venus vérifier la situation. Le premier à arriver fut Zhang Shun. Tout en bloquant un Tan anxieux, le second jeune maître Zhang dévala le couloir en deux pas et s’écria :

« Grand frère ! »

Quand Chu He leva les yeux et l’aperçut, son visage changea légèrement d’expression.

« Qu’est-ce que tu fais ici ? »

Zhang Shun sentit une mystérieuse bouffée de colère en lui. Avant qu’il ne puisse répliquer, Zhou Hui se tourna vers lui en se frottant la joue et en jurant :

« C’est vrai, ça ! Un gamin comme toi devrait aller jouer à DOTA dans un cybercafé, mais tu veux imiter les adultes en traînant dans les boîtes de nuit. Sors d’ici tout de suite ! »

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Chu He rectifia d’un ton glacial :

« Je voulais dire, qu’est-ce qu’il fait à Beijing ? Tu…

– Oh, j’ai déjà engueulé cet imbécile de Hu Qing, le coupa Zhou Hui. Mais il faut que tu pardonnes à ma belle-sœur — après tout, ce n’est qu’un renard : il manque d’éducation et il ne sait pas se servir de son cerveau. Si jamais il recommence, je t’aiderai à le tuer. »

Aussitôt, Zhang Shun se dit qu’il aurait vraiment dû frapper Zhou Hui à mort. Tout à l’heure quand son grand frère était en train de frapper l’autre homme, pourquoi ne s’était-il pas précipité pour fracasser une bouteille sur le crâne de ce malade et le buter pour de bon ?

De son côté, Chu He ferma les yeux et inspira un grand coup. Quand il rouvrit les yeux, il avait repris le contrôle de ses émotions.


À ce moment, Tan et d’autres personnes arrivèrent à leur tour en courant. Chu He jeta un bref regard à son petit frère et lui fit :

« Quitte Beijing au plus vite. Ce n’est pas un endroit où tu aurais dû venir. »

Après ça, il tira sur ses manches pour les remettre en place et se dirigea vers les escaliers en dépassant Zhou Hui sans un regard en arrière, comme s’il partait vraiment furieux après une dispute.

Zhang Shun était déjà à la base rempli de colère et de doutes, mais cette phrase ne laissa plus que de la colère en lui, alors il lâcha :

« — Arrête-toi ! »

Chu He tourna la tête vers lui. En voyant son expression si polaire, Zhang Shun se figea malgré lui.


« Je ne peux pas t’expliquer maintenant, intervint Chu He durant son moment de blanc. Si tu ne peux pas partir, reste toujours avec Zhou Hui durant ce temps. »

Si je ne peux pas partir, mais pourquoi je ne pourrais pas partir ? Et tu me demandes de rester avec ce malade ?! Bordel, vous me prenez tous pour une putain de Hello Kitty que vous pouvez vous refiler pour jouer ?!

Zhang Shun devint soudain extraordinairement abattu, comme si on venait d’allumer une bombe pour la lui fourrer dans les bras.

Il n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit et ne put que regarder son frère se tourner d’un air inexpressif après ça. Tout le monde s’écarta par réflexe pour le laisser passer, mais Chu He les ignora et descendit les escaliers sans un regard en arrière, sous les yeux de tous ces gens.


* * *


Tout le monde aida Zhou Hui à regagner le box privé. Ils s’empressèrent de vérifier s’il était blessé ou pas, soignèrent les blessures et lui apportèrent de l’eau.

Après une telle scène, les gosses de riche n’avaient naturellement plus envie de s’amuser. Ceux qui ne connaissaient pas Zhou Hui s’excusèrent pour partir l’un après l’autre, tandis que ceux qui le connaissaient restèrent un peu plus longtemps pour lui conseiller de ne pas trop s’appesantir sur cette situation désagréable — Quand on était heureux dans la vie, il fallait profiter de son bonheur et ne pas laisser sa coupe de liqueur vide face à la lune Extrait d’un poème de Li Bai. (2), tout le monde avait toujours l’air propre et bien en apparence. D’ailleurs, qui n’avait jamais été réprimandé et frappé par son épouse en privé ? Il fallait simplement se faire une raison.

Personne n’osa le soutenir complètement. Les six équipes sous la supervision du département spécial de la Sécurité d’État étaient toutes composées de gens peu ordinaires. Feng Si n’était pas non plus une bonne poire qui se laissait facilement malmener. Si ces gens se risquaient à dire plus de mal de lui, ils risquaient de se réveiller une nuit et de le trouver à côté de leur lit, leur filant une bonne claque.

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Le visage de Zhou Hui était morose alors qu’il pressait un chiffon rempli de glace sur sa joue. Il ne disait rien, les yeux sur son splendide visage aussi sombres que ceux d’un loup. Ses amis n’osèrent donc pas rester plus longtemps et firent rapidement venir Xiao Xi, toujours vêtue de sa robe blanche, pour apporter du thé et de l’eau. Ils lui demandèrent de bien servir frère Zhou, puis prirent congé l’un après l’autre.

Zhou Hui ne les fit pas rester plus longtemps. Il fit avec un sourire sur son visage grave :

« Je suis vraiment désolé. À cause de moi, mes frères n’ont plus envie de s’amuser — Je vous inviterai à une soirée la prochaine fois pour me faire pardonner. »

Tout le monde assura que ce n’était rien, qu’ils comprenaient et qu’il devait d’abord s’occuper de l’incendie dans son arrière-cour Calmer son épouse. (3).


Une fois tout le monde parti, il ne resta plus que Zhou Hui, Zhang Shun et Xiao Xi dans le box privé. Dès que la porte se referma, Zhou Hui se leva du sofa d’un bond. Non seulement il retira la glace de son visage, mais il jeta même le chiffon d’un geste négligent.

« Allons-y, allons-y, allons-y. Les nuits courtes du printemps sont précieuses, j’en ai vraiment assez de perdre mon temps ici ! »

Confus, Zhang Shun se laissa entraîner vers la porte par Zhou Hui, suivis de Xiao Xi. Quand ils sortirent du club, ils virent que la Lexus argentée attendait déjà au bord de la route. Zhou Hui fit d’abord entrer Zhang Shun dedans, puis monta à son tour et referma la porte derrière lui. Il fit au chauffeur :

« À l’endroit habituel vite ! »

Le chauffeur, Xiao Liu, démarra sans dire un mot.


Zhang Shun remarqua alors avec surprise que Xiao Xi était toujours avec eux.

« Où est-ce qu’on va ? Trouve-moi simplement un hôtel ! Je rentre chez moi demain !

– Beau-frère, répondit Zhou Hui d’un ton insouciant, ton grand frère t’a confié à moi. Dorénavant, chez toi est l’endroit où je me trouve. »

Le chauffeur éclata de rire. Puis en voyant le visage du second jeune maître Zhang dans le rétroviseur, il reprit un air sérieux et fit comme s’il n’avait rien entendu.

La Lexus roula sans difficultés jusqu’à un hôtel ordinaire qui se trouvait à l’extérieur du quartier de Jianguomen. Zhou Hui sortit de la voiture et en tira Zhang Shun. Xiao Xi les suivit de nouveau. Sans même passer par la réception, l’homme prit l’ascenseur et sortit une carte de chambre de sa poche.

Choqué, Zhang Shun s’écria :

« Qu’est-ce que tu fous ? J’ai pas envie de partager une chambre avec vous deux !

– Trop tard, » fit simplement Zhou Hui.

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Il ouvrit la porte qui donnait sur une suite double bien décorée. Xiao Xi entra la première et s’assit sur le lit, puis Zhou Hui poussa un Zhang Shun réticent à l’intérieur avant de refermer la porte.

Zhang Shun contempla le lit King Size d’un air indescriptible. Il se tourna vers Xiao Xi qui semblait très calme, puis vers Zhou Hui qui retirait son manteau.

« … Putain, c’est quoi ce bordel ? demanda-t’il d’une voix tremblante. Vous allez faire quoi ?! »

Zhou Hui accrocha sa veste au porte-manteau, puis il remonta ses manches pour révéler ses avant-bras musclés. Il se tourna alors vers Zhang Shun pour le fixer d’un air grave.

« Beau-frère, demanda-t’il d’un ton sérieux. Tu as déjà entendu parler d’un plan à trois ? »


Note de Karura : Chu He semble éviter Zhang Shun, au grand désespoir de ce dernier. Du coup, notre second jeune maître Zhang doit supporter Zhou Hui et ses idées fantasques… Un plan à trois ? Comment va-t’il réagir ?



Notes du chapitre :
(1) Vous l’aurez deviné, ça se réfère au pénis.
(2) Extrait d’un poème de Li Bai.
(3) Calmer son épouse.






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